histoire coquine

Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 17:32

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A la croisée d’un regard…

 

La nuit m’enveloppe, me voila sur le quai de gare, j’attend mon train pour Toulon, cela fait longtemps que je désire visiter cette ville et surtout y retrouver une personne que j’aime énormément.

Je choisis cette période de septembre puisque c’est le moment ou les chaleurs seront les plus supportables pour moi, m’a-t-elle dit. Déjà elle prend soin de moi …

Je regarde passer les badauds, c’est fou comme certains détails nous font avoir une opinion sur eux sans les connaître.

Certains ont un sourire avenant, d’autres au contraire font naître un certain malaise.

Alors, tranquillement je patiente un livre à la main, prête à franchir les portes du monstre de fer dès son arrivé…

De temps en temps, je lève les yeux sur le cadran pour voir l’heure… Plus que 15 minutes à attendre !

D’autres passagers commencent à arriver sur le quai.J’ai toujours ces questions quand je vois du monde dans ce type de lieux.

-« Qui sont t’ils, que font t’ils, ou vont t’ils?» 

Je remarque au loin un attroupement, des militaires, ils parlent en faisant de grands gestes ce qui attirent mon attention.

 A cet instant, je croise le regard de l’un d’entre eux, il a des yeux magnifiques et quand il croise les miens, je me liquéfie sur place tant je me sens mise à nu, il me trouble, comme s’il m’avait pénétré sans me toucher

Je me replonge dans ma lecture tout en pensant …

-« Vraiment je suis dingue… Regarder un homme de cette façon », je me suis sentie porté par lui, c’est complètement fou mais il a fait naître le désir d’un simple regard…

-Si je pouvais faire le voyage en leur compagnie, il me paraîtrait bien moins long !

 

J’ai pris ma réservation au dernier moment, mais sur les  voyages de nuit les trafics sont plus calmes, le sommeil nous plonge dans les bras de Morphée et on ne voit pas passer le voyage.

Je m’endors facilement et n’importe où, donc je n’ai pas pris de couchette, juste une place assise dans un compartiment, j’espère juste être bien accompagnée pour le temps du trajet.

Je voyage avec une petite valise et un sac, pour ne pas être encombrée par une tonne de bagages.

 

Ça y est… Il y a de l’agitation sur le quai, le train entre en gare…

 

- LES VOYAGEURS EN DIRECTION DE TOULON SONT PRIEZ DE SE DIRIGER VER LE QUAI N°15.

 

Je ferme mon livre, réajuste ma jupe et mon chemisier et me dirige vers le train, je cherche mon wagon, la voiture 37, compartiment 12.

Je monte, derrière moi j’entends les voix des militaires qui rient entre eux.

 

Quand j’entre dans le wagon, je suis serrée de près par toute la troupe qui semble être très à l’aise à leur façon de prendre place dans le train.

Je trouve la mienne, il y a déjà dans le compartiment une femme avec son fils et une jeune fille qui lèvent les yeux à mon arrivé et me sourient avec un signe de la tête en guise de bonsoir, et je réponds par un bonsoir tranquille.

J’essaie de ne pas déranger en mettant ma valise dans le filet face à moi et m’installe avec mon livre, je réalise à cet instant comme ma jupe est courte, car assise sur la banquette, elle remonte le long de mes cuisses et je me sens un peu mal à l’aise avec ses deux femmes qui me regardent, l’enfant lui est contre l’épaule de sa mère et somnole…il ne devrait pas tarder à s’endormir.

Je retire mon gilet que je pose sur mes genoux et je me plonge dans mon livre pour masquer mon mal être!

Dans ma confusion, je tiens mon livre à l’envers, si elles se sont rendues compte de quelque chose, je risque de passer pour une écervelée.

Ce n’est pas l’image de moi que je préfère donner, bien que je n’aie rien contre les têtes en l’air.

J’ai choisi un livre de Stephen King « Salem » je suis dans le monde de la magie et de la sorcellerie …Que de mystère autour de cette ville…

Je tâte la poche de mon sac et cherche mon lecteur mp3 pour avoir un peu de musique avec moi. J’écoute Yannick Noah et je suis bercée par le son de sa voix.

Je repose mon livre… Tout compte fait, je suis fatiguée et je vais essayer de dormir un peu, bercée par la musique…Je ne me rends pas compte quand je sombre et mes rêves me transportent loin du train, du voyage, vers un endroit ou je retrouve une vieille connaissance, quelle magie quand même « le rêve » il nous fait découvrir tant de choses, nous fait voyager, vivre des moments torrides ou chimériques, mais laisse toujours une empreinte en nous.

Je suis tellement loin et si profondément endormie que je n’entends pas les voyageurs qui m’accompagnent dans ce compartiment quitter le train …

Est-ce le silence soudain, ou le déplacement d’air qui me fait ressurgir, mais quand j’ouvre les yeux, je suis face à l’un des militaires, celui qui m’avait transpercé de son regard sur le quai, Mais là !il n’est pas plongé dans le mien, mais sur mes jambes voilées d’une paire de bas fins et brillant.

Je referme les yeux à demi pour voir ce qu’il a en tête. Il me croit profondément endormie, je vais jouer le jeu…

Les autres sont dans le couloir et le regardent en chuchotant entre eux une cigarette à la main…que se disent-ils, que trament-ils…ils paraissent suivre tous les faits et gestes de leur ami.

Hum !... Comme il est attirant avec son costume impeccablement repassé, son calot glissé sous son épaulette…

Cet œil égrillard qui pèse en ce moment  sur mon décolleté me donne envie de bombé le torse, mais je ne fais que bouger légèrement, suffisamment pour dévoiler le haut de mes cuisses et donner un autre point de vu de mon anatomie. Habillée d’une jupe noire fendue sur le coté et de mon chemisier rouge et noir ou j’ai déboutonné les deux premier boutons pour laisser paraître la naissance de ma poitrine.

Dans le couloir, les autres l’encouragent de leurs regards à plus d’assurance, je sens son souffle s’approcher de moi, que va-t-il tenter ??

J’ai du mal à voir ce qu’il fait, mon champ visuel se trouve réduit dans cette position et à moins de bouger, je ne peux pas deviner ses intentions…

 J’entend le clic d’un appareil photo, je suis sure qu’il en a profité pour prendre mes jambes en photo, c’est à ce moment que je me met à bouger…j’entends des pas précipités dans le couloir, tout le monde a fuit. Sauf celui qui vient de me prendre en photo. Il tient dans sa main son téléphone et me regarde en me disant sans se démonter.

-Puis-je me permettre de vous demander votre n° de téléphone s’il vous plait, j’ai fait le pari avec mes amis de vous le soutirer et je ne voudrais pas le perdre !!

-je pense « quel menteur !!!», son pari est déjà gagné, celui de me prendre en photo…

Je joue le jeu et lui donne mes coordonnées téléphoniques…

A mon tour dis- je, de vous demander quelque chose…

-Pourriez vous me tenir compagnie un moment, je me sens seule et le voyage est long !!

Je vois se dessiner un beau sourire et la réponse qui vient avec, est un oui qui est sorti du cœur sans attendre.

Il s’assied face à moi, commence entre nous un dialogue des plus sage, celui ou l’on fait connaissance, celui qui nous donne cette première impression de savoir si on est bien avec cette personne ou non.

Son regard m’avait interpellé et le fait de le découvrir me donne envie de continuer le voyage en sa compagnie.

Il doit aller dans le bas de la France à Fréjus pour réincorporer son unité de parachutistes.

Je bois ses paroles, me gave des ses petites histoires qui sont toutes agréables à entendre. Il ne semble pas du tout macho, pourtant de le voir avec ses amis c’est un peu l’impression que j’avais eue, mais il est sensible et doux… J’aime sa personnalité.

 

Je plonge dans ses yeux, j’y lis le coté doux et sensuel qu’il  dégage, j’ai envie de vivre des instants de folies, de me laisser aller au plaisir charnel, même si cela doit rester une folle aventure …

Vivre en même temps ce fantasme du train avec un parfait inconnu, comment ne pas y penser quand ces idées font parti de vos envies, se serait merveilleux de le vivre là, avec lui.

Le temps doit paraître long à ses amis, deux d’entre eux sont dans le couloir et jette un œil dans le compartiment avec l’envie de nous rejoindre…

Mais il leur fait signe de partir discrètement, ce qu’ils font avec une certaine déception…

Il en profite pour tirer les rideaux et pousser discrètement le loquet qui retient fermé le compartiment.

Il revient s’installer,  nous reprenons notre discussion, je lui propose de partager un petit en-cas, qu’il accepte avec un léger sourire qui lui illumine les traits du visage.

Face à face nous mangeons des sandwichs préparé le matin même en vu d’une fringale passagère.

 Il est assis face à moi, séparé par une tablette qui a été tiré pour l’occasion, après un temps qui semble ne pas finir…

Il profite de cette situation pour glisser entre mes jambes son pied déchaussé, je sens monté le feu à mes joues, je suis toute excitée et gênée en même temps.

Son pied se fait plus insistant et me force à écarter les cuisses, malgré moi, je le laisse faire.

Il sait jouer avec ses orteils pour donner des sensations fortes, déjà je sens en moi  des frissons qui remontent dans tout mon corps.

Combien de temps,  dure cette caresse ? Je ne sais pas… mais je ferme les yeux et me laisse envahir par le plaisir qu’il me procure.

Je ne me rends compte de rien quand il replie la table qui nous sépare…

Le regard brûlant de désir, sa main remonte audacieuse sous ma jupe, glisse le long de mes cuisses, s'infiltre jusqu'à mon sexe.

Ses doigts glissent sur le tissu devenu humide, l’écartent légèrement et s’infiltrent entre la chair et le voile de ma petite culotte, caressent le bord de mes lèvres engorgées de plaisir

Le souffle court, je commence à haleter, un son qui en dit long sur ce que je ressens lui donne envie de jouer avec mes sens.

Je deviens plus hardie et je m’offre pour être cueillie dans ce tourbillon de caresses.

Impatiente qu’il frôle mon clitoris je retiens mon souffle…

Mais il redescend me laissant au bord du plaisir,  ses mains courent le long de mes jambes alors que mon ventre crie d’envie

Il entame une remontée exaspérante…

Ses mains reviennent à mi-cuisses et montent lentement vers leur centre bouillonnant, je suis parcourue de frissons … j’écarte un peu plus les cuisses, l'invitant me caresser plus loin et plus profondément.

Les pointes de mes seins sont dures et fières et se tendent outrageusement  sous le voile de mon chemisier attendant d’être taquinées à leur tour, mon ventre entame des mouvements de vague à la recherche de cette main chaude qui tarde à venir se poser sur mon intimité gorgée de miel.

Ses mains viennent de chaque coté de mes hanches pour faire glisser ma petite culotte qui est devenue humide avec ce ballet de douceur.

Je garde les yeux clos attendant la suite… Je tends mon bas ventre vers lui,

Le pubis dévoilé attendant que ses doigts courent de nouveau entre mes cuisses et s’infiltre entre mes chairs rougeoyantes et humides.

Il cherche avec une dextérité étonnante, l'entrée de mon sexe, puis s'introduit d’un coup, ce doigt qui joue, se faisant insistant, allant et venant au fond de moi,fait que je me plonge au fond de ses yeux le suppliant silencieusement … « continue , ne t’arrête surtout pas»

Il sourit, replonge de plus belle au fond de mes entrailles bouillonnantes de désirs.

Je deviens folle, je voudrais à la fois qu'il cesse et qu'il m'envahisse encore plus...

Enfin sa bouche vient au contact de mes lèvres qu’il vient sceller d’un baiser, interdisant les sons de les franchir.

Crispée sur l’onde de plaisir qui monte en moi je ne résiste plus au besoin de le caresser à mon tour.

J’entame un déshabillage sommaire, desserrant sa cravate et déboutonnant sa chemise, je glisse une main cherchant le contact de sa peau, enfin !  Je peux le toucher, sa peau est douce légèrement velue sur le ventre.

Alors que ma main commence à flirter avec son corps, sa bouche quitte mes lèvres pour se lover dans mon cou, je sens son souffle chaud et court, il a pour effet de rajouter ce besoin de le dévorer, de le posséder. Ses lèvres me caressent maintenant, au creux des épaules, me faisant frissonner d'envie.  Je m'abats sur son torse pour y poser quelques baisers brûlants... Nos ventres s'approche de plus en plus à chaque secousse du train...

Un  frisson d'excitation me traverse, tout en moi brûle de convoitise pour cet amant d’une nuit...

Tandis que mes mains le caressent, il se dégage légèrement pour me laisser investir ce corps à mes caprices.

Mes mains sont aussi curieuses que moi et en attente de tenir l’objet du désir au creux de ma paume.

Comme au ralenti, je m’agenouille devant lui, desserre sa ceinture puis dégage tout doucement ce sexe engorgée qui me saute presque au visage tant il tendu…

Refermant ma main tout autour, il gémit quand je l’effleure du bout des lèvres, quand ma langue en lèche la hampe que je caresse doucement prenant un plaisir coquin à faire tourner celle ci tout autour du gland où perle son envie.

D’une main je glisse entre ses jambes pour masser doucement ses testicules tout en jouant de ma langue sur frein. Je me délecte du plaisir de sentir cette peau si douce, tendue à l'extrême, vibrer sous mes doigts.

Puis je dépose un baiser sur le sommet avant de l’engloutir, mes lèvres se referment instinctivement et entament et va et vient qui devient de plus en plus fort.

Le seul mouvement perceptible est celui de ma bouche qui se délecte de mon amant.

Il ferme les yeux et émet de longs soupirs en glissant ses doigts dans mes cheveux, juste ce qu’il faut pour  me rendre encore plus folle de désir.

Je poursuis jusqu’à ce que son plaisir soit prêt à jaillir, mais doucement il se dégage d’entre mes lèvres et m’aide à me relever pour que mon ventre se trouve collé au sien.

Je me rends compte que je suis presque nue au moment ou son sexe aussi dur qu’il est fier me frappe le ventre de ses contractions, le déshabillage ayant du s’effectuer pendant que je flottais entre ciel et terre, entre mes lèvre et sa verge.

Mais peu importe, il passe entre nous une énorme vague de chaleur.

Sans aucune violence il me fait basculer sur le banquette que se trouve juste derrière moi, je me retrouve allongée le torse nu sur la banquette froide, très vite passe le frisson qu’occasionne ce contact.

Il passe sa main sur mon corps enveloppant mes seins qu’il pétri tantôt avec douceur,tantôt avec fougue, sa bouche s’empare de mes mamelons alors que sa langue excite la pointe qui devient toute dure sous cette caresse.

Ses mains parcourent mon corps avec une telle douceur que j’ai l’impression qu’il tient une plume entre les mains, ce n’est plus qu’un ballet débordant de finesse qu’il opère sur mon corps.

Puis il soulève ma jupe offrant mon pubis rasé à sa vue, il passe ses mains entre mes jambes et les écarte avec une grande douceur…

Enfiévrée, impatiente de sentir sa bouche qui se rapproche inexorablement de mon sexe, je me tends vers lui.

je sens son souffle chaud au moment ou il hume le parfum suave qui s’en dégage.

Enfin il pose ses lèvres, chaleur ultime qui me traverse les reins.

Sa bouche  s'entrouvre, sa langue me lèche avec une dextérité déconcertante qui m’entraîne dans un tourbillon de folie.

Sa bouche faisant l’amour avec mes lèvres gorgée de miel, je sens monter en moi une boule de feu prête à jaillir, sa langue tournoyant sur  mon petit bouton me fait perdre pied, je suis sur le point de jouir…

Il perçoit dans mon corps monter ce séisme et redouble d’ardeur dans ses caresses buccales et juste avant que je me cambre sous l’effet de la jouissance il glisse en moi deux doigts qui me font exploser presque instantanément, ma gorge se déploie dans un cri que je refoule pour ne pas attirer l’attention.

Il remonte jusqu'à moi et m’embrasse, mêlant le goût de mon plaisir au goût de ses lèvres.

A ce moment je sens sur mon ventre sa virilité brûlante, dans un mouvement du bassin il se glisse entre mes cuisses et je me soulève pour l’aider à me pénétrer.

Cet instant est magique, il se glisse en moi avec douceur puis s’enhardi très vite, je me met au diapason de ses ruades endiablées, nos corps trempés de sueur brillent sous les veilleuses du compartiment.

Nos souffles s’accélèrent, des grognements sourds fusent de partout, il est sur point de jouir et rien que cette idée fait monter en moi un nouvel orgasme encore plus violent que le premier…

Je referme mes jambes autour des siennes pour l’appuyer encore plus fort en moi, qu’il se laisse aller au plaisir de jouir tout au fond de mon ventre, déjà bouillonnant et prêt a exploser dans une jouissance des plus violente.

Je le sens, tout ses muscles se tendrent quand il se libère dans un grognement de satisfaction non retenu.

Et je me laisse envahir de nouveau par cette avalanche de plaisir presque surhumaine. Je jouis.

Il retombe de tout son poids et nous restons un temps que je ne saurais définir tant il est difficile de revenir sur terre…

Nos corps se séparent et nous ramassons nos affaires dispersées autour de nous, dans un silence presque religieux.

Une fois rhabillés, il me prend par la taille et me donne un baiser auquel je réponds avec autant d’ardeur que de fougue.

Puis je le regarde dans les yeux en lui disant…je ne connais même pas ton prénom !

Il me sourit et me tends la main en me disant moi c’est xavier et toi ?

Moi c’est Marie…

Et là nous partons dans un éclat de rire, enfin les présentations sont faites…

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 17:19

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Mais comment ai-je fait pour me retrouver ici, comment ai-je bien pu me laisser embarquer ainsi?

Moi qui suis de nature si méfiante en général…

Je me trouve dans un lieu qui ressemble à une cave de manoir où de château, dont des murs sont ornés de grosses pierres blanchies à la chaux et de voûtes basses, c’est incroyable, pour moi cela ressemble à un décor de cinéma… Des tentures rouge pendent sur les murs, elles sont lourdes comme surgit d’un autre temps, il y a des dizaines de bougies posées à même le sol, unique éclairage ambiant, qui sculpte mon corps, d’ombres et de lumières.

Et il y a un parfum d’encens qui donne un coté mystérieux à cet endroit..

Je suis assise sur un banc recouvert de velours rouge, bordé d‘un galon rouge plus clair presque rose, et j’attends, j’attends qu’il arrive, il doit revenir m’a t-il dit !!…

je tremble malgré moi, l’appréhension sûrement, la peur de l‘inconnu, le doute qui ronge l‘esprit !

J’angoisse de me retrouver seule dans cet endroit.

Mais où est t-il? Que fait t-il?…

Je me revois encore avant hier acceptant son invitation, le rejoindre pour vivre des moments inoubliables, jusque là je dois dire que tout est à la hauteur de mes désirs…

Je l’ai approché, touché, embrassé c’était ce que je désirais le plus, depuis tout ce temps que nous parlons ensemble sur le net, nous partageons nos désirs, nos envies. Tant de bons moments pendants ces heures d’insomnies.

Le temps passe, le moindre bruit me fait sursauter, alors j’essaie de me détendre …

Je commence à m’assoupir, je m’allonge sur le banc en l’attendant et je ferme les yeux essayant d’imaginer ceux et celles qui ont vécu ici dans un passé lointain ..

Je fini par m’endormir et mon rêve me mène dans un endroit semblable à celui où je me trouve en ce moment.

Je suis accompagnée de deux hommes, je ne sais pas ce qu’ils attendent de moi, ils parlent entre eux en me regardant.

Je suis mal à l’aise de sentir le poids de leur regards, ils me mettent à nue, pénètrent mon âme, quand ils s’approchent de moi je ressens une peur ancestral qui remonte du plus profond de mon être. J’ai envie de fuir loin de ce lieu et je me réveille….

Quand je sors de mon sommeil, je ne suis plus seule, il est là…je le sens …

Des sons m’entourent, des bruits de pas qui se déplacent, un souffle…

Je suis vêtu d’une robe légère et de sous vêtements, je n’ai pas froid, la pièce est chauffée mais je frissonne malgré tout…

Je me retrouve les yeux bandés par ce qui semble être un foulard, quand je porte mes mains à mon visage pour sentir le tissu qui me coupe du monde, me plonge dans l’obscurité, une main arrête mon geste sans aucune paroles…

Que va t-il se passer, qu’attend t-il de moi, pourquoi ne parle t-il pas ??Tant de questions se bousculent en moi.

Comment va t’il se comporter? Pourvu qu’il ne soit pas brutal, je ne suis pas prête à ça, j’ai presque envie de partir ... De tout arrêter…

Je suis inquiète et excitée en même temps par ce qui m’attend…

Il rode, en silence, autour de moi, je ne perçois que son souffle qui est profond et puissant comme si… J’étais une proie à la merci d’un animal sauvage qui flairerait son repas avant de l’engloutir…

Ses mains viennent se poser sur mes épaules, je sursaute au contact de ses mains froides et fermes, elles font glisser les bretelles de ma robe le long de mes bras, un énorme frisson me traverse, je suis perdue, ça y est la machine est lancé plus moyen de reculer.

En silence, il continu le déshabillage , j’ai envie de l’entendre, d’entendre les mots qui accompagnent ses gestes…mais je n’entend que sa respiration qui est a peine audible, comme s’il retenait son souffle …

Il retire ma robe en m’aidant à me soulever pour l’ôter complètement, je suis devant lui presque nue, avec mes sous vêtements que j’avais choisi ce matin même pour cette rencontre, un petit ensemble rouge et noir en dentelle rehaussé d‘une petite guêpière assortie et d‘une paire de bas fin, mes souliers sont retirés depuis que je me suis allongée pour me reposer…

Je ne porte plus grand chose, et je sens ses mains qui viennent me débarrasser de mes derniers effets, il se colle à moi en passant ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutient gorge, il libère d’un seul coup mes globes charnue qu’il prend entre ses mains et vient suçoter avec ferveur. Sa bouche m’aspire, me tète, sa langue taquine mes bouts qui se dressent comme par fierté…je gémis…hannnnnnnnn.

Il continue sa lente progression dans le déshabillage, il fait glisser ma petite culotte le long de mes cuisses. Ses mains me caressent, cherchant à m’offrir le maximum de volupté. Je me laisse aller, ses mains qui me touchent sont chaudes maintenant, douces et fermes.

Ses gestes sont précis, il ne tremble pas, je voudrais qu’il touche mon sexe, avec la même fougue quand il c’est emparer de mes seins. Mon sexe est mouillé et se met à gonfler sous la violence de mon désir, mon ventre l’appelle, le désire.

Mon cœur se met à battre de plus en plus fort, j’ai l’impression qu’il résonne dans toute la pièce, mes mains sont moites mais déjà en moi naît l’excitation,

je sens son regard peser sur moi. Il continu de me tourner autour, chaque pas résonne en écho, j’essaie de deviner ses intentions…

Il est tout proche, très proche au point ou son parfum me parvient comme une brise légère. Je le désire de plus en plus , c’est dur d’être comme ça sans pouvoir agir..

il pose un de ses doigts qu’il promène sur mon visage et en dessine le contour, passe sur ma bouche et me laisse l’attraper entre mes lèvres, je me met à le sucer avec un plaisir intense, de l’avoir là entre mes lèvres me redonne une certaine maîtrise…hoooooooo ouiiiiiiii.

Angedesnues

 

 

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Mardi 3 juillet 2 03 /07 /Juil 19:35

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Tous les jours elle prend le métro qui l’emmène vers sur son lieu de travail situé à trois quart d’heure de chez elle, et tous les jours elle voit les mêmes visages, certains lui sont agréables et d’autres antipathiques…

Mais depuis un peu plus d‘un mois, elle croise un homme… la quarantaine, pas mal du tout, avec des yeux marron qui change de couleur selon l’éclairage, légèrement grisonnant ce qui lui confère une maturité rassurante, il la fait voyager à travers ses pensées.

Cela fait maintenant quelques jours qu’elle se rapproche de lui et visiblement il n’a pas l’air de s‘écarter, il aurait même tendance à chercher à se rapprocher lui aussi, il est souriant et ne laisse pas passer un salut de la tête quand elle monte dans le métro…

Secrètement elle l’imagine près d’elle, l’enlaçant dans un baiser fougueux, elle ne peux pas s’expliquer pourquoi ce désir, elle ne le connais pas, et pourtant elle en rêve.

Depuis quelques nuits déjà !! il hante son sommeil, il y est doux, sensuel, aimant et même un merveilleux amant…Elle avait déjà vécu en rêve des douceurs qui au réveil lui donnaient une envie incontrôlable de se caresser, alors qu’elle avait déjà une main posée sur le pubis avec son sexe lubrifié par ses souvenirs oniriques…

Ce matin, tout en s’étirant elle se masse la poitrine avec douceur puis continue à détendre son corps de ses mains qui glissent entre ses cuisses et là peu a peu ses doigts s’infiltrent entre ses lèvres excitant son clitoris qui n’attend que des caresses.

Puis ils s’enfoncent aux cœur de son sexe qui palpite et se referme sur ses doigts humidifiés par son plaisir montant.. Elle stimule son désir sentant monté en elle une vague plaisir qui va la foudroyer. Au moment de jouir l’image de son inconnu se trouve au dessus d’elle, elle explose dans un râle presque inhumain…

Elle se lève et se dirige vers la salle de bain, prend une bonne douche ,elle ne doit pas être en retard pour prendre le métro et arriver à l’heure au bureau.

Elle déjeune, débarrasse sa table, retourne se laver les dents puis se maquille légèrement avant de franchir la porte pour aller travailler.

Et ce matin le métro est plein , elle est debout, se tient à une barre qui se trouve juste à coté de lui, mais avec tous ces gens, elle fini par le perdre de vu.

Elle ne sait pas ou il descend car en général quand elle arrive porte maillot, lui continue son chemin.

Elle est perdue dans ses pensées quand elle sent derrière elle une pression, quelqu’un c’est collé contre elle.

Et difficile de voir qui ce conduit de la sorte tant le wagon est bondé, mais elle à un drôle de sentiment, un doute, ce doit être lui, qui d’autre tenterais de la frôler de si près , sans prendre le risque d’être giflé en retour.

Cette situation l‘excite tout en l‘angoissant, sentir la pression sans voir qui est derrière…Son imagination vagabonde!

Tout à coup! une main se pose sur ses fesses, elle se contracte, son instinct de protection la fait se refermé comme une huître.

Elle essaie de se dégager mais impossible , elle est coincée par tous ce monde qui se serre les uns aux autres.

Les mains insidieuses se font câlines, elles la caressent doucement pour l’ aider à accepter leurs attouchements…

elles passent sous son chemisier, l’enserrent et remontent sur sa poitrine.

Il se plaque contre son dos et elle ressent une grosseur bien distincte au niveau de ses fesses, rien que d’imaginer l’effet qu’il lui fait, son propre corps réagit, elle sent une certaine humidité naître entre ses cuisses, sa petite culotte heureusement viens faire barrière à ses doux débordements

Une de ses mains remonte sous sa jupe, glisse le long de ses cuisses, poursuit sa route jusqu'à son sexe. Une pression se fait sentir au niveau de sa petite culotte déjà toute mouillée, incroyablement elle écarte légèrement les cuisses le laissant libre de toucher son sexe, elle sent ses doigts qui écartent sa petite culotte pour frôlé sa toison toute douce, elle se dandine quand il fait glisser le long de ses jambes sa petites culotte qui tombe au sol…

Rouge de confusion elle baisse les yeux et pose son pieds sur l’étoffe de tissus rouge à ses pieds, elle relève la tête pour regarder autour les visages, comme si toute la scène n’avait pu échapper à qui que soit, mais les visages sont impassibles…

Sauf peut être ce jeune homme à quelque pas d’elle qui la fixe avec curiosité.

-« se doute t-il de quelque chose»

Mais la main sous sa jupe a reprit ses caresses et très vite elle replonge dans son plaisir qui lui brûle le ventre elle ne peut toujours pas voir son amant de fortune…

Mais elle fait passer ses mains dans son dos pour le toucher, elle palpe le devant de son pantalon et sent sous sa main un sexe gonflé, dur prêt à exploser, ce qui a pour effet de la rendre encore plus affamée de désir, c’est avec une très grande dextérité qu’elle déboutonne sa braguette et glisse sa main a l’intérieur du pantalon, sa main n’a plus qu’un obstacle à franchir juste un léger tissus de coton sous ses doigts la sépare de se membre viril doux et chaud, avec patience elle arrive à passer sa main à l’intérieur et referme sa main sur le sexe chaud qui perle d’une envie aussi forte que la sienne…

Elle appuie ses fesses contre se sexe dégager de ses entraves, Elle déglutit, attendant la suite des évènements, avec une impatience grandissante.

Il lui soulève sa jupe et viens se plaquer tout contre elle, devinant ce qui va suivre, son sexe dresser par l’excitation se glisse entre ses cuisses.

Par un léger mouvement de hanche elle se glisse sur ce glaive plein de vigueur.

Il enfonce fermement, son sexe au fond d'elle.

Elle le sent monter dans ses entrailles. Elle se crispe, suffocante, et laisse échapper, malgré elle un souffle , un gémissement de plaisir...

Elle ne peut plus réfléchir, juste penser au sexe et au plaisir qui monte en elle…

Elle est trempée, inondée, tant cet homme l'excite elle se mord les lèvres, se concentre, elle est tendue comme un arc fermant les yeux, elle le sent monter et descendre en elle à un rythme de plus en plus soutenu, mais à peine perceptible.

La chair de ses lèvres se contracte de plus en plus des frissons la traverse, hummmmmmmm c’est trop bon, et le plaisir qui monte deviens trop fort …

C'est seulement à ce moment là, qu'il se décide à jouir en elle, quand il perçoit qu’elle est prête que tout son corps tremble du plaisir qui la terrasse, dans un dernier souffle il lui mord la nuque au moment ou son sperme vient jaillir, en de longues giclées saccadées.

Elle laisse fuser un souffle long et entrecoupé de hoquets quand elle reçoit en elle cette manne tant désirer, quand elle relève la tête elle a face a elle ce jeune homme qui lui souris étrangement, et d’un clin d’œil vient scellé sa complicité dans ce moment de folie, elle baisse la tête honteuse mais ne peut effacer un léger sourire de bonheur;

Des lèvres chaudes viennent se posées dans son cou et une voix des plus douce lui dit,

- j’ai adoré ce moment je veux vous revoir me permettez-vous de vous inviter ce soir pour un repas en tête a tête, nous ferons plus ample connaissance.

Enfin elle se retourne et se trouve avez a nez avec lui, elle lui répond par un oui et un baiser qui en dit long sur les jours a venir.

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 16:50

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Je me rends chez mon kiné trois jours par semaine, pour un mal de dos récalcitrant…Il pétrit ma poitrine, effleure leurs pointes, masse mon ventre, mais ne touche toujours pas mon sexe, je sens qu’il le fait exprès, qu’il joue avec moi, avec mes sens…j’ai faim de désir, de plaisir.

Pour soulager celui-ci , je bénéficie de rééducation en piscine suivis d’ une séance de massage très efficace…

Donc aujourd’hui vendredi commence la dernière séance de la semaine, comme chaque fois j’arrive pour quinze heures « sauf que je suis plus souvent en retard qu‘en avance,

Je rentre dans la salle le sourire aux lèvres à l’intention de mon kiné il y répond en me disant…

- Bonjour ! Vous allez bien aujourd ‘hui ?

- Je vais bien merci; la séance de mercredi m’a fait un bien fou ! Je suis rentrée exténuée… mais ravie !

-  Je vous ai préparé la piscine, tout les agrès sont à votre disposition, je vous laisse commencer sans moi, je m’occupe d’un enfant… je viens vous voir ensuite. L’après midi va être calme, j’aurai plus de temps pour surveiller si les mouvements sont bien fait.

Je salue les parents de l’enfant au passage et répond.

- ok, alors à tout à l’heure… je vais en profité avant que vous veniez me torturer, lui dis-je avec un sourire moqueur…

J’ai beaucoup de chance, il es vraiment très gentil, je me sens très à l’aise avec lui, il faut dire que cela fait plus de vingt ans que l’on se connais, et nos échanges ont toujours été très agréables. Je note chez lui un charme fou, il est plus vieux que moi, ce qui m’amène à avoir un respect naturel, il a les tempes grisonnantes , un bronzage superbe qui fait ressortir l‘éclat de ses yeux bleus, il n’est pas très grand ni très musclé mais il est bel homme, il a un œil égrillard, coquin… Il est respectueux et c’est important pour moi…

J’entre dans la pièce où la piscine a été découverte à mon intention, je me dirige vers la cabine de déshabillage, pose toute mes affaires, me dévêtis et enfile mon maillot .

Ça y est je suis en tenue ! J’entre dans la piscine qui est presque à la même température qu’un bon bain chaud, j’y entre comme ça, sans aucune difficulté et déjà j’en ressens les bien-fait, l’eau me porte, j’en oubli mon dos qui se trouve aussitôt soulagé.

C’est agréable, je profite que mon kiné « Éric »  soit occupé, pour faire quelques brasses …quel pied ! moi qui suis un vrai poisson dans l’eau, je plonge, nage sous l’eau, la sensation est géante , j’adore… je suis bien.

Je n’ai pas très envie de faire mes mouvements, mais bon gré mal gré, je vais m’accroché à la barre en acier qui fait le tour de la piscine .

Et je commence mon échauffement , face à la parois bras tendu , je relève la jambe droite jusqu’à ma poitrine puis je fait de même avec la gauche, s’en suit d’autres mouvements pour l’échauffement …

Après 10 mn je prends près de moi la frite en mousse qui me sert muscler et redonnée du tonus au dos et au fessier..

J’entend Éric qui parle dans l’autre pièce avec les parents du petit garçon auquel il fait du clapping ( c’est une pratique qui sert à aidé les enfants à mieux respirer quand ils sont encombrés au niveau des bronches), le petit pleure et je sais que je peux en profiter pour y aller tranquillement, il n’est pas encore près d’être là…

Consciencieusement je fait mes mouvements, et après quinze bonnes minutes, je commence à ressentir de la fatigue, je vais reposer les agrès et je me met sur le dos, je me laisse transporter les yeux fermés, ma tête est à moitié dans l’eau et j’entend le bruit du moteur de la piscine qui ronronne…je me détend…je suis bien……

Je n’ai pas entendu les gens partir, ni Éric entré dans la salle. Il ne dit rien et me regarde, je ne le vois pas, j’ai les yeux fermés. je suis dans mes rêves entourée de volupté dans cette eau qui me berce , me caresse…

Je ne sais pas si cela fait longtemps qu’il est là, mais je sursaute quand je le vois presque pencher au dessus de moi , je suis gênée et je rougis car j’étais à me caresser la poitrine tendrement, me croyant seule …

Je le regarde et il me sourit en me disant.

-  C’est comme cela que vous travaillez en mon absence ?

-  oh non, non du tout, je euh…. enfin, je faisais une pause  !

-  oui ça j’ai vu ! Même un jolie pause …

Je rougis de plus belle, évidemment qu’il m’a vu, j’en viens à me demander si dans ce moment de plaisir, je n’ai pas caressé d’autre partie de mon corps sans faire plus attention..

Il me tend les altères et me dit…

- allez, vingt mouvements en avant les bras à ras de l’eau, les épaule rentré, puis autant sur le coté, on rentre son ventre et on respire… hein!

Allez je compte avec vous c’est parti !

Grrrrrr ! je l’ai fais juste avant, mais je ne vais me plaindre sinon, je vais devoir tout refaire, il est assez taquin pour ça…

- voilà c’est bien comme ça la poitrine en avant, allez on y va ! 1et 2.et 3et 4.……bien on se repose…

Ouf !! Je suis à plat, je le regarde avec mon regard de chien battu …

-j’ai déjà fait tout mes mouvements, c’est vrai je t’assure

« zut j’ai de plus en plus de mal à le vouvoyer, ce n’est pas la première fois que ça m‘arrive…

Il me sourit, pas du tout ulcéré , j’ai même le sentiment que ça l’amuse.

- bon d’accord je cède ! alors je vous laisse 20 mn pour nager puis ensuite vous allez sur la table je viendrais faire votre massage.

Je lui fait un sourire radieux et je plonge la tête la première sous l’eau et traverse la piscine, quand je la ressors il n’est plus là.

Je me délasse et je pense à mon massage à venir, hum j’aime sentir ses mains sur moi..

Je sors, il est temps que je m’installe, je suis en sous vêtement à plat ventre sur la table les bras croisés sous mon visage les jambes relevées par un coussinet rond, j’attend … j’ai mes écouteurs sur les oreilles et une musique sensuelle vient meubler le silence.

Je ne l’entend pas entré avec la musique, mais je sens ses mains qui viennent se poser sur moi, il les a chaudes et douces, il dégrafe mon soutient gorge et baisse ma petite culotte, comme à chaque fois, mais cette fois ses gestes sont encore plus appuyer, je connaissais ces frôlements insignifiants, mais perceptibles pour moi, mais là c’est franchement ciblé, je ne dit rien. je ferme les yeux, savourant ce bien être,

J’attends ces caresses depuis longtemps, je n’ose pas bouger de peur qu’il n’ose plus..

Ses mains glissent sur les coté et frôlent ma poitrine qui est écrasée sur la table, mais je sens les pointes se dresser, hummm… je garde la position les mains sous la tête, les bras relevés.. ses mains reviennent sur mon dos et commence le massage, il part de la nuque et descend jusqu’à la naissance de mes fesses, ses gestes sont plus appuyés, plus langoureux que le massage énergique je connais..

Elles glissent, s'infiltrent, me font soudain brûler de désir me procurant un plaisir trouble que je savoure

Je ressens l’ envie qu’il me passe la main sur les fesses, il doit le sentir car elles descendent de plus en plus bas, et viennent enfin me toucher là où je l’attend, malgré moi je pousse mes fesses sur sa main avec un léger gémissement à peine audible, il en profite pour faire glisser ma ptite culotte, jusqu’à ce qu’elle soit complément retirée…

Ses mains sont enduites d’une huile odorante qui a pour effet de me chauffer .

Elles remontent le long de mon dos, viennent sur les cotés toucher ma poitrine, mon souffle devient plus profond, je retient ma respiration…

Puis! Je sens ses lèvres qui se posent et suivent une ligne imaginaire tout le long de mon échine.

J’ai peur d’un seul coup, peur que quelqu’un entre, peur de ne pas être à la hauteur de tous mes fantasmes, il est un des plus présent à mon esprit car ses mains je les ai rêvé tant de fois, cette situation je l’ai souhaité, espéré et là je suis tétanisée, il doit le sentir car il ôte de mes oreilles les écouteur et me dit

-Chut ! Détend toi, laisse toi faire, je vais te faire du bien…

Je n’ai pas rêvé ! il me tutoies, Je me tourne et plonge mes yeux dans les siens et là…. je n’ai plus peur, ho non… plus du tout !.

Je le désire, je le veux, il dépose un baiser sur mes lèvres et m’aide à me mettre sur le dos..

Jamais encore il ne m’a vu, nue face à lui, dans mon esprit mes mains viennent cacher mes seins et mon pubis, mais dans la réalité je suis toute offerte à son regard…

Je tremble doucement, le parcours de ses mains sur mes bras, sur ma poitrine, sur mes hanches. Puis la douceur de ses doigts qui remonte sur mon visage, qu’il vient caresser comme pour me rassurer…hum ! je savoure cette succession de sensations excitantes et troublantes,

Tout mon être se met à frémir, et des frissons parcourent mon corps laissant paraître mon désir…

il reprend de l’huile dans le creux de ses mains et il les dépose sur moi, recommence un massage, tout est nouveau pour moi, la sensation est forte mon corps adhérent à ses mains, elles se font plus curieuses, savoureuses, audacieuses , quel délice

 

Mes bras qui sont le long du corps, viennent de sentir au passage son sexe tout dur .

J’hésite à le stopper et à le libérer de son étreinte vestimentaire, je tends la main vers sa braguette, mais il a un mouvement de recul et me dit

- un peu de patience le massage n’est pas terminé…

_hummm, mais j’ai tellement envie de te voir , de te toucher, de te goûter !

Je vois se dessiné sur son visage un large sourire et il vient déposer ses lèvres sur les miennes, ses yeux brillent, d'excitation .

Nos langues entament une danse frénétique, ce baiser m‘achève , je sens fuser entre mes cuisses tout ce miel onctueux qui ne demande qu’a être savouré…

Il reprend ses caresses, toujours aussi délicatement, mais avec passion

Il s'évertue à éviter mes zones les plus sensibles , cela me rend folle.

J'ai l'impression d’ être une ligne à haute tension tant mon corps est comme secoué par des décharges électrique.

Je devine son sexe à travers le tissus de son pantalon, j’ai envie de le libérer, de défaire ses vêtements, de le découvrir nu devant moi, de le toucher, de prendre son sexe dans ma main ,de le goûter mais chaque fois que j’approche ma main, il les écartent de lui en me posant un baiser soit sur les lèvres ou sur les seins en disant « tss tss pas touche» …

Je me sens encore plus vulnérable, je ne peux pas assouvir mon désir, je crève d’envie de le sentir et il le sais, il en joue…

D’ailleurs à bien regarder, son sexe est encore plus tendu, il doit même avoir mal, vu ce rictus au coin de ses lèvres quand il me frôle. Il dois la sentir battre comme un cœur et aimer prolonger ces sensations !

A ses mains viennent s’ajouter ses lèvres, ma peau est couverte de chair de poule et je me tortille sous ses doigts et sa langue…Je ferme les yeux pour mieux savourer

Un bruit nous parvient de la pièce a coté, une voix féminine.

-il y a quelqu’un ?

Il me fait un signe avec son doigt sur la bouche pour me signifier de me calmer.

-« J’arrive! j’arrive! je suis avec une cliente à coté» .

Je n’ose plu respirer et au fond de moi je rage, qu’est-elle venue faire à ce moment précis celle là « grrrrrrrrrrrrr » !

Mon corps est brûlant de fièvre, je suis moite, j’essaie de comprendre ce qu’il m’ arrive, comment j’ai pu le laisser faire !

Mais je ne peux pas, je ne pense qu’à son retour…

Je ne comprends pas tous les mots qu’ils échangent, mais je suppose que c’est pour un rendez vous puisqu’il n’attendait plus personne.

Je trouve le temps infiniment long, je n’entends plus rien..

Puis la voix féminine

- Bien merci beaucoup, alors à lundi 13h30

- « Oui à lundi, n‘oublier pas de prendre une tenue adéquate pour pouvoir être à l’aise pour faire les mouvements »

-  Un jooging ça ira ?

- Parfait oui, alors à lundi madame Lemarchand …

- D’accord à lundi !

Je prête l’oreille pour suivre les mouvements, j’ai peur qu’a son retour toute la magie ai disparue…

Il revient… je suis restée dans la même position et instinctivement mes mains viennent pour essayer de me voiler à son regard…

Il me sourit, s’approche prend mes deux mains et les écarte, je me retrouve à sa merci…hummmmm j’aime ça…un frisons me traverse de part en part.

Sa main enfin se pose sur mon pubis, je m’arque boute pour sentir plus de pression et lui faire savoir que je n’attend que ça …

je sens très vite son souffle sur mon sexe, puis sa langue qui se glisse entre mes lèvres, elle se fait plus curieuse explorant chaque repli de ce fruit défendu. Je me laisse complètement aller, je sens mon ventre frémir,

-hummmmmmmm oh ouiiiii continueeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!

je pose mes mains sur sa tête, mes doigts glissent dans ses cheveux et m’apportent un peu de satisfaction, ce contact est chaud et doux.

Je veux qu’il me dévore encore et encore…J'ai envie de jouir par tous les pores de ma peau.

Il me lèche longuement, allant de mon bouton à mon antre dans laquelle il aime s'enfoncer et se délecter de ce miel qui, plus le temps passe, plus il est abondant. Sa langue est à la fois douce et vigoureuse, me procurant un plaisir sans pareil.


J’ écarte les cuisses au maximum, totalement offerte à ses caresses. Mes mains caressent mes seins, pincent mes tétons. Très vite, je sens monter une énorme vague de plaisir .

Il redouble d'ardeur et je sombre dans un océan de plaisir, criant ma jouissance.

Lorsqu'il se relève, il me regarde en souriant et dit :

- « Tu as aimé » ?

- « oh ouiiiiiiiiiiii et tu as une langue diaboliqueeeeeeeeeeeeee… »

Seulement voilà moi aussi, j’ai des désirs et le plus puissant, là en ce moment; est de te dévorer, te goûter, sentir tes muscles vibrer .

- « Approche toi … viens près de moi»…

il s’approches à hauteur de mes mains, je me suis tournée sur le coté pour le libérer de ses entraves. Je suis au niveau de son ventre et je tire sur sa chemise qui est coincée à l’intérieur de son pantalon, je glisse mes mains en dessous, sa peau est chaude, il a un peu de poil sur le bas-ventre, je joue avec mes doigts dans se début de toison, puis je viens déposer mes lèvres sur sa peau tout en déboutonnant sa chemise…

De son coté il défait ses boutons aux poignets et m’aide à la retirer, il descends ses mains vers la fermeture de son pantalon , mais je l’arrête …

-non ! Cette fois c‘est moi , laisse moi faire.

La bosse s'est accrue et je distingue très nettement la forme de son sexe, qui me parait avoir des proportions très honorables, je déboutonne le pantalon et fait glisser la fermeture éclair, sans efforts, je libère son sexe…

Enfin je le découvre, il est énorme, gonflé par le désir, merveilleusement doux et chaud. Je le prends, lui caresse les testicules, puis remonte jusqu'au gland que je griffe tendrement avec mes ongles. Je le serre ensuite dans le creux de ma main et le caresse, doucement, dans un mouvement tranquille. Je ressens du plaisir à le toucher de la sorte. J’accélère alors mon mouvement, le masturbant de plus en plus fort. Il commence à haleter, je me penche vers le sexe tendu.

Je suis hypnotisée par ce phallus que je continue à caresser avec vigueur. Mes narines palpitent, la verge raidie se rapproche de mon visage, je la respire avec délice, Puis ma main se retire, le laissant, soudain, surpris, sur sa faim…

Je le regarde avec un sourire narquois…

- tu es sur que tu veux aller plus loin ?

Dans ses yeux je lis le supplice qui s’opère en lui, cette envie de jouir qui était presque à son comble et que je viens de stopper net.

-oh oui! Continue je t’en prie, tu ne peux pas me laisser dans cet état pas maintenant

Il prend ma main qu’il guide vers son sexe pour que je reprenne cette danse du plaisir, je fais semblant de résister, ce jeu m’excite, je me joue à mon tour de ce supplice, «  ne m’a t-il empêcher de le toucher quand mon désir était à son apogée»…

Je sens dans sa voix comme une prière, je le regarde droit dans les yeux en glissant avec lenteur mon index entre mes lèvres que j’aspire, il le regarde fasciné disparaître dans ma bouche pour en ressortir tout mouillé et repartir dans ce nid douillet chaud et humide…ses pensées se trouble son regard me supplie ,sa respiration se fait plus profonde.

…ses yeux me font craquer…

Je reprend avec douceur se massage qui me fait autant de bien qu’a lui.

Je suis poussée à plus de gourmandise, je l ‘approche de mon visage, le prends entre mes lèvres que je resserre tout autour .

Je l’entends gémir de plaisir sous mes caresses mouillées, ma langue tourne caresse le filet , le gland qui est tendu au maximum, c’est merveilleusement doux et chaud, mêlant à ma salive l’odeur de son sexe de mâle, je me régale. Tendrement je le fais aller et venir sur ma langue, le suçant avec passion..

Très vite il prend le contrôle ses deux mains posées sur ma tête et d’un mouvement du bassin qui le fait aller et venir dans cette bouche qui l’accueille comme un sexe de femme affamée. Puis une de ses mains viens se nicher entre mes cuisses et de ses doigts il écarte mes autres lèvres très humides elles aussi et me pénètre de ses doigts qu’il fait aller et venir en joue avec son pouce en massant le clitoris,

Je ferme les yeux une nouvelle vague de plaisir monte en moi, à cet instant, j’ai le désir fulgurant de le vouloir en moi, de sentir la douceur de son corps qui m'étreint, le désir d'un feu à éteindre.

Je veux m’abandonner sans plus me poser de questions, sentir son sexe me pénétrer, il a pris des proportions imposantes qui me laisse rêveuse.

A cet instant le message doit passer car il quitte mes lèvres, m’aide a me remettre sur le dos et me fais glisser sur la table jusqu’à ce que mes jambes pendent dans le vide, il les fait passer par dessus ses épaule et viens m’embrasser l’intérieur des cuisses, huummmm!! Cette langue qui revient à l’assaut comme pour assouvir une énorme soif.

Ses mains posées sur mon ventre continue un massage doux j’ondule sous ses caresses c’est à ça moment que je ne peux plu me retenir…

- va y prend moi , vite prend moi la comme une furie, je n’ en peu plus, je t’en prie Éric ne me laisse pas avec cette envie.

Il relève la tête, à son regard je sais que son désir est aussi fort que le mien

- tu le veux, hein !! Va y demande le moi, supplie moi !!!

- Je t’en prie Éric, va y , vite je te veux …ohhhhhh ouiiiiiiiiiiii vienssssssss.

Il s’approche du bord, son sexe tout congestionné et pour faire durer le plaisir

Il évite malicieusement de me pénétrer, le pose à l’entrée et le passe sur les lèvres, sur le clitoris qui est gonflé de désir.

- vite, viens …………………

Enfin il pousse son sexe, je le sens monter en moi… c’est un déferlement de sensations savoureuses, son sexe raide dans la moiteur de mon fourreau de chair brûlante.

J’enroule mes jambes, m'arrimant à lui, puis j‘ondule de plus en plus vite de plus en plus fort, le temps n’a plus d’existence, le plaisir l’a effacé…je me mord les lèvres de plaisir.

Il butte au fond de moi avec force, Les mots sortent de mes lèvres dans la plus grande confusion, je ne sais plus ou je suis…

-Hoooo Ouiii! Encore! Encore! Ne t’arrête pas, je vais jouir. Hummm Ouiiiiiiiiiii

Il s'excite de plus en plus fort puis dans un dernier effort , il murmure :

- Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiir !


- Hoooo ouiiiii toi aussiiiiiiiiiiiiiiiii ! Hummmmmm

Je sens son ventre qui se contracte et il explose en un feu d’artifice de mille couleurs..

il ferme les yeux, se laissant submerger par ce plaisir foudroyant; se laisse retomber sur moi.

Tout mon corps c’est mit à trembler comme un séisme de force inconnue..

Je lui caresse le visage, je suis exténuer.

Il est toujours en moi, je le sens palpiter, reprendre une taille normal, mon sexe à toujours des contractions qui vont aussi en diminuant..

Il vient poser ses lèvres contre les miennes, un baiser plein de tendresse vient achevé le plaisir qui est en nous.

Il se dégage doucement vient poser ses mains sur mon ventre et mon sexe comme une dernière touche pour achever un tableau de maître.

Je laisse fuser un long soupir de bien être…

Je le regarde s’éloigner avec son beau sourire enjôleur qui ne quitte pas son visage. Il me dit…

Je reviens attends moi, je dois annuler un rendez-vous…

Il est temps que je me rhabille, mais je dois passer sous la douche avant et me remettre de toutes ses folies.

angedesnues


 

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 19:13

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Il n’est pas encore minuit et l’air est lourd du sommeil des hommes qui sont endormis, un ange survole un petit village où se trouve un homme qui de ses prières l’a attiré plus d’une fois.

Mais chaque fois qu’il se rapprochait de lui, il perdait le fil, le courrant qui l’attirait irrésistiblement…

Mais cette fois! il est tout proche, vraiment proche, il glisse sur sa peau comme une plume sur l’eau, ce parfum dans les bois alentours lui font sentir ces choses…

Il cherche, se rapproche et freine son envol, il est près d’une maison qui semble être enfin celle qu‘il a toujours cherché.

Se reposant sur le rebord d’une fenêtre entrouverte, il a devant lui un spectacle magnifique…

Son regard se pose sur cet être, celui qui tant de fois l’a appelé, c’est bien lui…il en est sur, il le sent .

L’homme repose endormi sur un lit entourer d’un voile léger ,comme au temps jadis, dans les contes de fée aussi léger que la tunique éthéré de l’ange qui replie ses ailes et le regarde.

Il est allongé sur le lit, nu, recouvert d’un drap à demi froissé entre ses cuisses musclées et dorées d’une vie saine au grand air, il respire la quiétude, le bien être…

Il a les traits qui rappellent un peu ceux d’un animal, qui se dresse les soirs de pleine lune, gorge déployer face à l’astre de la nuit pour faire ressortir toute la force qui est en lui.

Il est rempli de douceur, on peut lire sur son visage toutes sortes d’émotions, ses rêves le font voyager, ses rêves comme ceux de l’ange sont tapissés de volupté…

L’ange l’observe, sans un bruit, le visage éclairé d’un sourire malicieux

L’ange est d’une féminité bouleversante, un corps plein de rondeurs aux lignes douces, sa peau est pale et fragile, quel contraste avec cet homme qui est endormi sur des draps blancs avec un teint qui rappelle la couleur des terres africaine.

Depuis longtemps l’ange a imaginé cet instant, être près de lui, le regarder…

Il est beau, énigmatique, attirant…

Dans ses prières il réclamait une présence, un besoin de tendresse, de douceur, nimbé d’un autre sentiment beaucoup plus sauvage… mais tellement tentant.

Il se met à bouger durant son sommeil , et l’ange ne peux que savourer se corps qui s’agite au gré de ses rêves.

L’ange descend de la fenêtre et se rapproche sans bruit de lui, il laisse glisser à ses pieds sa tunique immaculée qui dévoile un corps de femme, elle est belle, avec une poitrine à faire pâlir le diable, son ventre est souple et a l’aspect du satin, une longue chevelure recouvre ses épaules en cascade , elle décroche ses ailes et s’assied sur le rebord du lit, elle découvre caché sous le drap un corps plein de promesse…

Offert à sa vue l’anatomie de l’homme la laisse songeuse, elle n’a encore jamais eu l’occasion d’en toucher un…Elle a déjà vu quelque part un homme nu, mais jamais de si près. Juste à coté d’elle, il s’étire laissant apparaître cet objet qui se redresse comme par fierté

Elle ose un doigt qu’elle pose dessus…A son contact il se redresse encore, et de la chaleur en émane, comme si un feu couvait en dessous…

D’un geste rapide elle retire sa main elle craint d’avoir réveillé un dragon endormi…

Mais sa curiosité l’emporte sur ses craintes, elle revient et pose sa main dessus .

Elle sent d’un seul coup comme une poussée dans sa paume, elle commence à le caresser, L’homme a l’air d’avoir le sommeil plus agiter, mais ne se réveille pas, il appuie instinctivement son sexe contre cette main douce qui découvre pour la première fois le sexe d’un homme.

Elle a le sentiment de tenir entre ses mains un cœur qui palpite doucement.

Elle regarde avec surprise la métamorphose qui s’opère, le sexe s’allonge, se redresse, se déploie, il laisse apparaître une surface plus foncé, plus lisse, brillant qui perle de rosée, devant ce spectacle elle est émue et se rapproche pour y déposer un baiser doux et chaud.

Elle a le désir de sentir sa peau contre la sienne, elle se couche tout contre lui, se laisse aller à des sensations nouvelles.

Son corps répond, frissonne, vibre, elle veut tout savoir, tout connaître

Cet ange apparue comme par magie, devient pour un instant « diablesse»

Elle a le désir de goûter à sa peau, de savourer chaque parcelle de son corps, de le posséder.

Ses mains le parcourent, se glissent sur ses épaules, puis descendent sur ses reins, s’arrêtent sur les fesses et en dessinent les contours avec douceur.

Sa bouche suit ses mains, sa langue se déroule et le savoure, elle se délecte de ce plaisir avec une gourmandise sans retenue. Maintenant, rien ne peut plus arrêter sa curiosité.

Elle découvre que son sexe a encore prit de l’ampleur, qu’il a l’air vivant .

Elle y dépose ses lèvres qui s’entrouvrent tout naturellement pour l’engouffrer, dans un nid accueillant, humide et chaud. Il a le goût étrange de l’amour, ce goût unique qui réveille en nous des instincts enfouis .

Elle l’abandonne un moment pour aller effleurer ses lèvres au goût fruité et sucré.

Il ouvre les yeux…

Il émerge de son sommeil, l’enlace tendrement , comme si elle était sienne depuis toujours.

Sans se poser plus de questions, comme s’il savait pourquoi elle était là,

Comme si tout ce ballet était naturelle, il écarte ses bras, elle se love contre lui, son ventre appelle les caresses, elle se frotte à lui et tout naturellement s’ouvre comme une fleur à l’aube de sa vie. Il pose ses mains sur sa peau, la découvre du bout des doigts;

Sous ses caresses elle feule comme une tigresse, elle a le bas- ventre en feu, avide d'un désir dévorant.

Comme dans un rêve il s’offre les désirs les plus fous, sa tête se glisse entre ses cuisses, de sa langue il la butine avec délectation comme une abeille …elle se laisse aller le tête en arrière…Il la baigne de baisers tendres et sauvages à la fois, la griffe d'amour au bas de ses reins, « c’est donc ça les plaisirs terrestre hum »

Il visite chaque partie de son corps fragile et tendre…jamais elle n’a connu de plaisir aussi intense, mais aucune peur, aucune angoisse ne l’arrête, elle a si souvent voulu répondre à son appel que tout son être peut lui appartenir… il peut en user comme il l’entend , elle est sienne pour la nuit.

Il a des doigts, presque des plumes qui la caresse d'un long filet de tendresse et s’enfonce de plus en plus profond, pour qu’elle les désire encore et encore, toujours plus fort, toujours plus loin….
il pénètre dans la douceur de sa chair, glissant peu à peu entre le renflement de ses lèvres devenues humides. Soudainement, sa caresse devient plus légère… hummm… oh combien savoureuse !!. Elle se met à gémir sourdement le corps pris d'un désir incontrôlable. Elle ferme les yeux, goûtant la saveur de cette caresse inconnue.

une seconde d'éternité l'enflamme...

Il est suspendu juste au-dessus d'elle, se délectant du plaisir qu’il lui procure

Quand d'un oeil égrillard elle s'en aperçoit, elle se rend compte que le nuage de ses délices est accroché à son sourire empreint de volupté..

Jamais dans son corps autant de sensations l’ont traversé, elle est certaine que son plaisir n’a pas atteint son apogée…

Comment calmer cette énergie qui éclos en se moment dans tout son corps, ses seins sont tendus et n’attendent que d’être caressés, pétris, léchés.

Elle ressent un besoin d’être envahie, cette force est incontournable, elle veut, attend, désire de toute son âme qu’il la fasse jouir bien que cette sensation lui soit étrangère. Ce besoin jusqu’alors inconnu devient vital,

Impossible d’imaginer autre chose, de penser à autre chose, ce qu’elle veut là à cet instant…c’est lui , elle a envie qu’il glisse sous sa peau pour ne faire plus qu’un.

Il doit le ressentir car ses mains, son corps, ses lèvres, son être tout entier la possède, il perçoit sa poitrine qui se soulève. Il est partout en dedans , en dehors, ses mains caressent ses seins, sa bouche les suçotent.

Elle entend ses gémissements qui se mêlent aux siens, elle est sur le dos les jambes écartées sans aucune pudeur, il la lèche partout avec une délicatesse sans pareil, de cette langue affamée, qui savoure enfin son bouton de chair brûlante « hooo quel délice » . elle est trempée son corps est secoué de soubresauts…

Devant ce spectacle, il est gonflé, fier, beau, elle sent contre ses flancs son sexe qui est dur, il doit être tendu au point de lui faire mal.

De nouveau elle l’attire près de ses lèvres… Fou de désir, enfin, il se glisse en poussant son bassin en avant pour franchir la barrière de ses lèvres et s’enfoncer dans la douceur de sa bouche alimentée par un feu ardent.

Elle le lèche à petits coups de langue, nerveuse, tourbillonnant au dessus du gland

Il est excité de voir les allers et retours de son sexe qu'elle dévore avec gourmandise. Elle s’accroche à ses fesses qu’elle malaxe avec ardeur, ce qui a pour effet d'augmenter l'excitation, son bas ventre est aussi tendu qu'un tambour

Elle perçoit la montée de sa jouissance qui arrive grâce à quelques gouttes annonciatrices de son plaisir…

Mais il se calme , il veut la posséder la serrer fort contre lui, qu’elle ondule sous lui, qu’il se repende en elle…

Elle a en elle un feu incandescent qui ne demande qu’a être éteint, elle se met à plat ventre pour sentir le contact du lit sur son pubis, comme pour soulager un besoin, il se place au dessus d’elle , fait glissé un doigt tout le long de son échine, au passage de ses reins elles se cambre, laissant entrevoir ses fesses et son intimité.

Il glisse une main entre ses cuisses qu’il fait remonté sous son ventre pour accentué cette courbure…elle se retrouve offerte la poitrine plaquée sur le matelas et les fesses en l’air.

Elle devine derrière elle sa position, par le frôlement de son sexe sur ses rondeurs.

Il glisse une de ses cuises entre les siennes pour savourer chaque endroit, , la caresser, la pénétrer, au plus secret de son intimité

Un frisson la parcoure, elle veut le sentir peser sur elle, être recouverte de son corps robuste.

Dans son excitation il lui mord le dos, lui griffe la peau, lui caresse, doucement les lèvres gorgées de désir, s'amusant à glisser, lentement l'entrée brûlante de son sexe, puis se retire, la laissant ivre de désir.

elle se tortille comme une anguille, s’accroche au drap, se pince les lèvres…

Son sexe, dressé, nerveux, palpite contre ses fesses, elle se colle contre lui, elle veut sentir cette hampe monter en elle..

Enfin, il prend son sexe dans sa mains et le dirige à l’entrée de ses lèvres engorgées, Son gland se pose doucement à l'entrée de sa grotte affamée…

Venant s'accrocher à ses hanches, le rendant fou de désir il pousse son sexe dans ce fourreau de chair accueillant, chaud et humide. Sans un mot, il s' enfonce en elle, allant et venant, tout doucement puis de plus en plus vite.

leurs corps soudé dans une danse rythmé par une étrange musique, se laisse aller à l’ivresse.

Son ventre se met à se durcir, il sent les contactions du plaisir le submerger.

Un violent plaisir vient la terrasser, elle commence à gémir laissant soudain le plaisir l’envahir, tout son corps se met a trembler sous l’orgasme fulgurant qui la traverse.

A son tour il se déverse en elle en libérant de long jets puissant doux et chaud. Puis, il s'écroule sur elle épuisée par la jouissance...

Elle savoure ce moment ou il est sur elle détendu, son poids la rassure, laissant à son corps le temps de se ressourcer, de revenir au calme…

Elle se dégage en douceur, sort du lit en le regardant, il s’est endormi son corps est luisant de sueur, sa respiration est sereine, elle remonte le drap pour couvrir sa nudité qui a fait naître en elle se désir incroyable, mais au combien sublime.

Elle sourit, ramasse sa tunique, raccroche ses ailes, en arrache une plume qu’elle dépose sur l’oreiller, pose un baiser sur ses lèvres et repart comme elle est venue sans un bruit espérant secrètement revenir …

A son réveil verra t il cette plume ou sourira t il a un l’idée d’un merveilleux rêve.

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 18:26

Je suis venue très tôt ce matin, pour faire ton ménage et je suis surprise que tu sois encore au lit !!!!!!!!!
En général à cette heure tu es déjà dans ta salle de bain. Souvent il me vient à l'esprit que tu te caresses sous la douche pendant que je range ta chambre, et j'en profite pour me ressourcer de ton odeur avant que tu reviennes t'habiller car ce parfum me suit dans toute la maison et secrètement je fantasme sur toi........
Mais là, tu es allongé sur ton lit je sais que tu vas bien car ta respiration est sereine, mais je suis troublée par ta nudité ta couette ne couvre qu'une partie de ton corps, et celle qui s'offre à moi est très suggestive et me place dans une situation très gênante; mais c'est plus fort que moi, mes yeux ne peuvent se détourner de ton corps.
Tu n'es même pas conscient que je suis dans la pièce, tout mon être est bousculé par ce spectacle que tu m'offres.
J'hésite à faire du bruit pour ne pas te réveiller et en même temps je me dis que tu es sûrement attendu pour travailler.
Alors je sors de la chambre et je vais dans une autre pièce ou je commence à ranger en espérant faire suffisamment de bruit pour te sortir de ton sommeil.
Mais en même temps je suis angoissée à l'idée de te voir de mauvaise humeur, ...........
il me vient cette idée de faire couler un bon bain comme ça tu pourras t'y prélasser avant une dure journée.
Mais voila que la porte de la salle de bain s'ouvre, Je suis surprise et très embarrassée, tu es toi-même surpris de me voir car pour toi je ne devrais pas être encore la,
Ton réveil n’a pas sonné, et mon intrusion dans ta chambre bien que silencieuse t’a sorti du sommeil.
Et c'est en tenue d'Adam que je te trouve, tu as un réflexe presque naturel de cacher ta nudité avec tes mains et mon regard ne peut s'empêcher de suivre ton geste. Pour masquer mon trouble, je te propose de prendre un petit déjeuner et pendant ce temps je te prépare ton bain. Ton parfum rempli la pièce hummmmmmmmmmm.
Tu bois ton café et mange des céréales, puis tu reviens dans la salle de bain. hoooooooooooo je ne sais plus ce que je dois faire, je suis poussée par le désir de rester et de fuir.
Tu sens le trouble qui m'habite et comme si pour toi c'était naturel tu me demandes de te frotter le dos, sous prétexte que tu n'y arrives pas facilement tout seul"pourtant tu es équipé d'une brosse conçue à cet effet "mais je ne puis résister au désir de porter mes mains sur ton corps "hummmmmmmmmmm que c'est bon. Je prends le savon dans ma main et te frotte le dos,
Mes mains suivent naturellement les courbes de ton corps et sans pouvoir me retenir, je continue, le ventre et puis les fesses, je ferme les yeux pour m’imprégner des images qui défilent devant eux. Lorsque je les ouvre de nouveau, tu es gonflé à bloc, tu te tiens tout près de moi. Si près que ta verge frôle presque ma joue. Je suis ensorcelée par cette offrande demesurée. Ma bouche s'empare de cette virilité qui se tend fièrement vers moi. Ton sexe glisse sur ma langue charnue et contre les parois humides de ma bouche. Je suce ce sexe béni que mon bas ventre convoite. Je caresse tes fesses que je sens vigoureuses. Tu te retire toi-même du fourreau qui t'aspire.
Tu es magnifique….. Ta sensualité me coupe le souffle. Une cuisante brûlure se fait sentir entre mes cuisses…haaaaaaaaaaaa c'est génial je suis prise par ma propre ivresse, je sombre dans cet endroit charnel ou ton regard est une caresse pour ma peau. Je te reprends dans ma bouche et avec un mouvement de va et viens rythmer par les coups de reins que tu donnes et qui deviennent de plus en plus rapide, je sens monter en toi le plaisir et de ta gorge monte des râles qui en disent long sur l'extase qui s'empare de toi, mais pour cette fois je veux te voir jouir, je me recule légèrement et ton corps s’arque, ta main serre fermement ton membre et un jaillissement, comme un feu d’artifice se répand sur mes lèvres, mes joues et ma langue. Tu te laisse glisser dans la baignoire le temps de reprendre tes esprits. J’ai hâte que tu sois parti pour pouvoir me glisser derrière toi dans ton bain et m’adonner au plaisir solitaire qui s’est éveille au fond de mes entrailles, ce feu qui me hante depuis que j’ai posé mon regard en arrivant sur ta nudité hummmmmmmmm je suis presser de glisser dans cette eau charger des souvenirs récents mais combien envahissant. Vite sauve toi laisse moi jouir hooooooo ......Je suis toute mouillée.
Tu te lèves, je suis positionnée derrière toi, je tiens une serviette et tu t'approches de moi. Je suis au bord d'un gouffre mes mains et mes jambes tremblent. Je te passe la serviette sur tout le corps, rien que de sentir si près je suis troublée et sous ses attouchements tu redeviens très dur je ne puis m'empêcher de te caresser alors que tu devrais t'habiller pour partir."Va, habille-toi, sinon tu vas être en retard pour de bon »et j’ai encore beaucoup à faire, "surtout à me soulager". Je te donne un baiser et je file dans une autre pièce. Je t'entends prendre tes affaires et tes clefs, ça y est, tu pars ......
Je vais dans la salle de bain ou je plonge mon corps en feu dans ton bain encore chaud et parfumé, mes mains vont directement vers l’objet du désir et je me caresse jusqu’à la jouissance parfaite ...... Je suis morte de fatigue comme rien ne presse, je m’allonge sur ton lit et je m’endors avec un sourire qui ne peut plus quitter mes lèvres...

Angedesnues
Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 14:37

  possession.jpg

Ce matin, le temps est gris, je me prépare à faire mes taches ménagères et le repas pour midi, un poulet au citron, je suis sur de faire plaisir à tout le monde, cette recette fait des ravages à chaque fois.

Je suis seule à la maison, le temps maussade n’en est pas moins chaud et lourd, mon asthme de ce temps me serre la poitrine et j’éprouve des difficultés à respirer normalement.

Pour pouvoir le faire à plein poumon, j’ouvre les fenêtres et fait circuler un léger courrant d’air

Je le sens passer comme une brise légère, la sensation qu’un voile aérien glisse sur ma peau

comme pour effectuer un massage délicat comme le frôlement d’une aile de papillon. Je souris à l’idée d’une caresse fantomatique qui me frôle au passage.

Pourtant j’ai un drôle de sentiment…presque même une certitude !

Celle d’être épié, d’être suivis, quand je passe d’une pièce à l’autre, je ressens une présence, comment expliquer… j’ai cette impression que l’on a quand on est seule dans un endroit et qu’une personne est entrée sans avoir éveillée notre curiosité, et qui nous fait sursauter de la découvrir ; là devant nous, sois par la vision ou par une parole lancé dans la tranquillité de nos rêveries.

Mais je ne vois personne, je me penche à la fenêtre pour voir si éventuellement il n’y aurais pas un quelconque voyeur, un irréductible de la curiosité malsaine, qui ferais naître se sentiment…mais non, personne, pas âmes qui vivent.

Je ne sais pas pourquoi mais… j’ai vraiment comme l’intuition d’avoir près de moi un être impalpable,

Qui peut a tout instant me bousculer et se servir de moi pour assouvir un besoin charnel.

Pourquoi cette notion de charnel, peut être pour cet air qui m’entoure et qui dégage des odeurs de mâle, qui naît juste avant de faire l’amour…

Mon cœur s’emballe, je ne me sens pas en sécurité, j’ai envie de sortir d’appeler une de mes voisines pour l’amener ici, pour savoir si elle aussi a cette sensation, mais je passerais pour une idiote,

-c’est vrai quoi, il n’y a personne ! C’est sûrement dû à mon imagination, à l’air ambiant, cette chaleur moite qui me met à fleur de peau !

Je tends l’oreille, il me semble percevoir un son anormal, un souffle, mais pas celui de l’air qui entre par la fenêtre, plutôt celui d’un air brassé qui sort des poumons,

-je ne rêve pas non ! Il y a une présence ici… Elle est tout près, comme un loup qui guette sa proie, tapie derrière un buisson prêt à bondir en avant…

Un frisson me parcoure, comme une rivière glacée entre mes omoplates, je sens comme des milliers de petites aiguilles qui me piquent ça et là… C’est angoissant et tellement incroyable, que je tremble inconsciemment…

Oh non ce n’est pas mon imagination ! Je sens que l’on me frôle, que l’on cherche à m’attraper…

Je pousse un cri, ma bouche reste grande ouverte, mais aucun son ne franchit mes lèvres, je suis tétanisée par la peur…

Et là…  Je sens vraiment une main invisible me pousser, me déséquilibrer, impossible de résister…

Elle me force à m’asseoir sur le canapé avec une force sans pareil. Cette même main qui me touche à travers le tissu de mes vêtements.

Je sens une force énorme peser sur moi, mais je ne vois rien, pourtant j’essais de la toucher, je me débat avec toute l’énergie que j’ai en moi.

Pour la dégager, qu’elle parte loin de moi, mais pas moyen rien à faire, mes doigts brassent l’air,

Je la sens, j’entends ses grognements, ils me font penser à un être, mi- homme, mi- bête…

C’est impossible, je rêve, je suis dans un film de série B…

Tout est confus en moi, physiquement, il n’y a rien, mes yeux cherchent partout à se poser sur un être ou autre de palpable, de réel…

Je sens des doigts longs et durs qui me griffent le ventre, les cuisses, les seins. Je voudrais hurler.

Je vois mes chairs bouger sous ses attouchements, mes vêtements sont arrachés et s’éparpillent autour de moi

C’est comme si un poltergheist sévissait, je suis effrayée, mais la curiosité prend place sur la peur.

Comment vais- je vivre cette chose ? Elle n’a rien à voir avec une rencontre « normale ».

Je suis assise et je n’entends plus rien, me suis–je endormie ?? Était -ce un cauchemar ! D’où je vais me réveiller. Je tends l’oreille… Pas un son, plus rien, je suis sur le point de me relever, encore toute bouleversée de cette aventure, mais je rencontre de nouveau cet obstacle qui me repousse en arrière.

Ses mains me caressent, elles sont bien réelles. il y a une certaine animosité dans ses gestes et aussi une force phénoménale.

Un poids vient peser sur moi, il est lourd chargé de puissance venu d’ailleurs, la peur me colle à la peau, pourtant je suis à l’affût du moindre geste, du moindre bruit …

Ce corps qui pèse sur moi se durcit, grandit, je me sens de plus en plus petite…

J’ai du mal à concevoir ce qu’il se passe, j’ai de plus en plus le désir de sentir cette force en moi et en même temps je la redoute. Je suis comme hypnotisée…aurait il aussi le pouvoir de faire flancher ma volonté de résister…

Je suis retenue par des mains invisibles, elles me caressent, me palpent, une langue me lèche dans le cou, sur le ventre sur les seins font le tour des mamelons, m’arrache des soupirs, je les vois durcir, bouger, se tirer ver le haut comme pincer entre deux doigts qui cherche à les arracher…

Elle redescend sur mon ventre, fait trembler mes chairs, je me contacte, mais elle continue de descendre encore, vient finir entre mes cuisses, malgré moi, mon sexe devient humide et chaud

Je sens une vague de chaleur sous cette langue invisible qui me caresse de l’intérieur…

Il me prend le désir de tenir cette tête enfouie entre mes jambes de mes deux mains, mais elles viennent au contact de mon sexe. Hummmmmmmmm…

Je peux me caresser alors que cette force est là, qu’elle me touche, me caresse, me lèche, Je ne peux la voir, la caresser, cela me rend folle, cette expérience est démente et magique à la fois.

Cet être invisible est incroyable, il me fait jouir, je sens monter en moi l’orgasme il est de plus en plus fort.

Il vient sur moi, je sens son sexe qui est dur et égal à sa force appuyer sur mon ventre, mon corps le désire, il attend que cette chose entre en lui…

Des effluves venus d’un autre monde, un parfum d’animal me pénètre et réveille mon instinct de démon caché…

Il entre en moi avec une certaine sauvagerie, mon corps suit cette cadence infernale alors j’entends des sons inhumains je me surprend a gronder en même temps que lui a entrer dans ce ballet infernal.

Des sons qui viennent d’un lieu profond, presque caverneux.

Mais je suis comme possédée, je veux être entre les griffes de la bête être sa chose, je vois sur ma peau se dessiner des trace qui me brûle, ses ongles sont accrochés à moi, j’ai envie de rendre cette douleur aphrodisiaque mais mes doigts rencontre l’air, j’ai envie de le griffé, de le mordre, impossible, mes doigts s’enfonces dans les coussins, ce qui, soulagent ce manque de contact…

Je suis pénétrée d’une hampe sans fin, elle est forte et dur j’ai l’impression qu’elle n’en finira jamais, mon ventre frémit, mes jambes tremblent, les mouvements se font de plus en plus rapide, je l’entends râler, ses râles se mêlent aux miens…

Mon ventre se soulève avec une régularité soutenue, si je pouvais voir mon reflet à cet instant, je verrais une femme allongée seule sur le canapé, les jambes écartées les mains au dessus de la tête triturant les coussins.

Un corps arqué basculant dans le vide, les yeux rivés sur un point invisible avec sur les lèvres un rictus de satisfaction, et de jouissance.

Je le sens prendre possession de tout mon être, de tous mes sens, j’ai l’envie soudaine, de le goûter, pouvoir toucher son corps, peu importe son aspect, je veux le voir , j’ai le sentiment qu’il a plusieurs mains tant les caresses sont a plusieurs endroits à la fois…

Il se fait de plus en plus puissant, il continue de grandir en moi, je jouisssssssss hooooooooo

Si quelqu’un vient à passer par là, je vais le faire fuir par ces cris de plaisir qui se transforme presque en sanglots tant c’est puissant.

S’il continu, je vais perdre conscience, un tel orgasme n’est même pas imaginable…

Je suis en nage, mon corps retombe comme une chiffe molle, je n’ai plus de force, je suis anéantit par cette vague de jouissance qui vient de me traverser, je me laisse emporter par une vague de calme …

Je me réveille… ahhhh !! Merci mon Dieu, ce n’était qu’un mauvais rêve…je vais finir mon travail.

Je suis vraiment mal quand le temps est lourd, ohhhh , mais c’est pas possible, j’ai des marques violettes qui se dessine sur mon corps…oh ! nonnnn !! Je n’ai pas rêvé

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 13:03

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     Me voila connecté sur Internet, il est déjà tard ce matin quand tu viens me prendre en pv , tu me fais sourire en me parlant de ma carte de visite.
Je ne me rappelle plus ce que j'ai mis comme anecdote , je vais de ce pas voir pour me rendre compte par moi même.

Effectivement, ça se veut plein de sous entendus, mais j'adore jouer avec les mots et le sens qu'on leurs donnent.Tu es agréable, un peu curieux, mais que ferions nous sans ça.!!!

Quand tu me demandes ce qui me procure du plaisir, je te parle de mon goût pour écrire et aussi de mon plaisir a créer des images.

Tu veux en savoir plus, alors après un long moment, je t'envoies une de mes oeuvres. Au bout de quelques secondes tu me dit que ça te plait, je suis surprise par ta rapidité à lire , tu me dis que tu n'es qu'au début , que tu aimes et tu es en ce moment en train de gonflé… hummmmmmmmm tu me proposes de me faire partager tes impressions et je dis ouiiiiii.

Tu me fais un premier envoie qui est très bien, je vois ton torse nu, musclé avec un léger filet de poil qui descend jusqu'au nombril cette fine toison à elle seule me fait imaginer que je pose mon doigts dessus et que je descends vers l'objet qui se tends dans un boxer noir et blanc . J'attends la suite des évènements qui ne tardent pas a arriver, quand on lance une machine elle se met en route et il faut toujours quelqu'un pour l'arrêter.

je te découvre au fil des envoies avec un désir certain d'évacuer une tension énorme, sur la fin tu es très gonflé et très dur, je me lèche les lèvres et regrette qu'il y ai un écran entre nous.

Je dois partir, c'est très dur de quitter cette place ou j'attends de voir le résultat de notre conversation. Mais le devoir m'appelle je dois y aller. Dès que possible je reviens sur le net mais tu n'y es plu

Alors je repense à notre discutions et je retourne voir les photos .je suis seule dans cette chambre juste avec de la musique ,cette musique à elle seule me transporte loin.

je vais m'allonger sur le lit et je ferme les yeux j'ai du mal a t'imaginer car de ton physique je n'ai que ton corps, alors j'invente un visage que je pose dessus, la seule indication que j'ai c'est une barbichette bien tailler.

je te dessine des yeux un peu coquins avec une malice certaine au fond.

Un nez aquilin et une bouche sensuelle ourlée d'une fine moustache. Je te vois entrer dans cette pièce avec une démarche sûr de toi, tu te diriges directement vers moi et sans me laisser le temps de parler, tu t'approches, tu poses tes mains sous mon tee shirt, qui se trouve être ma seule tenue vestimentaire.

Je contracte mon ventre sous cette caresse et je m'enfonce un peu plus dans le matelas.

Tes mains parcourent mon corps et je me prête à ses caresses avec un désir violent de prolonger le plus longtemps possible cet échange de pure volupté.

Quand tes mains glissent sur ma peau, j'en ai la chair de poule et je sens monter dans mes entrailles un immense raz de marée qui fuse entre mes cuisses ! .

Je me cambre pour te laisser agir à ta guise, je suis une chatte... hummmmmmmmm...

Je viens à l'encontre de tes mains pour que tu accentues ces caresses, quel bonheur. Ta tête passe sous mon tee shirt, je tressaille de surprise et de convoitise. Mes mains viennent se poser sur elle à travers le tissu, c'est une sensation bizarre, je sens le contact de ta peau sur moi et le tissu entre mes mains et toi. Je sens tes lèvres qui s'approchent de ma croupe, ces lèvres, que mon imagination a peinte sur un visage inconnu. Une langue étrangère vient se poser sur le haut de mes cuisses. Et parcoure un chemin qui suis cette ligne qui passe de mon entre cuisse à ma gorge que je t'offre comme un cadeau.. hoooooooooooo quelle excitation s'empare de moi. Je te veux en moi je veux sentir cette lame de feu qui me pénètre.

Tu perçois cet appel et ta bouche experte viens se poser directement sur ma féminité, ce jardin chaleureux qui s'ouvre à toi au contact de tes caresses.

Ma tête part en arrière et un gémissement d'allégresse fuse entres mes lèvres. je pose mes mains sur ta tête et te pousses encore plus loin .c'est fabuleux cette langue fougueuse et pleine de ressource ,même dans mes rêves les plus doux je ne pouvais imaginer à quel degrés de jouissance je m'exposais. la pointe de ta langue joue avec mon petit bouton et chaque pression arrache de moi des gémissements de plaisir mmmmmmmmmmmmm. Tout en savourant cette débauche, je me redresse et cherche une position pour te faire partager ce bonheur .

Je touche du bout de mes doigts ton ventre que je frôle et caresse avec une dextérité presque innée.

Mon visage se rapproche de ton sexe ,ma bouche se pose sur cet obélisque que je convoite et qui se tient fier devant moi. j'entrouvre mes lèvres et commence à engloutir se joyau au parfum nacré et sucré. Nos soupirs , nos gémissements s'échappent de nous comme la vie.

Le temps n'est pas compté, mais je ressens le besoin d'être pénétrée, et tu es prêt ,je me dégage de notre étreinte et viens de mes mains attirer ton corps contre le mien.

Je sens contre moi ce sexe dur ,tendu qui pousse déjà pour une entrée fracassante.

De mes attouchements, je calme cet assaut et prends possession de toi, ma bouche entre dans le pli de ton coup, ma langue trace des sillons et suis la cascade de ton corps et je me sers je tous mes sens.

Je te sens, te goûte ,te touche et chacun de mes gestes t'extirpent des râles de bien être.

Puis je prends ton sexe dans ma main, je le serre et relâche la pression et je recommence encore et encore.

A chaque serrement, je te sens durcir un peu plus, tout naturellement tu te mets sur le dos, et moi je me positionne au dessus de toi les jambes écartées de chaque coté de tes hanches.

Ton sexe dressé frôle ma toison frisottante et j'offre à tes yeux tous mes charmes, mes seins lourd et charnus se présentent à toi fiers et insolents, tes mains agrippent chacun d'eux et les pétrissent avec frénésie.

Tes lèvres s'emparent de chaque téton et les mordillent, je rejette la tête en arrière et de mon être fuse des... hannnnn, ouiiiiii, encore .......et des tiennes des grognements presque qu'animal cette succession de gémissements augmente notre ardeur.

De mes mains je prends ton sexe et le dirige sur le mien, je le frotte d'avant en arrière pour faire glisser ton gland luisant de ton concentré d'amour sur les parois de mes chairs et sur mon clitoris. Puis je me plaque contre toi et ta virilité est bloqué entre nous.

En toi monte un désir fulgurant et en moi tout tremble de l'envie d'être possédée de l'intérieur comme de l'extérieur.

D'un geste rapide tu me prends par la taille et ,Je sens ton sexe me pénétrer profondément. tu me maintiens par les hanches pour aller et venir en moi, en de longues et puissantes ondulations. Je tressaillais de plaisir

tu es au fond de moi et tu remplis mes chairs, un orgasme violent explose en moi et tu sens se répandre sur ton bas ventre toute la liqueur de mon plaisir, à cet instant tu t'agrippes à mes hanches ,je sens tes doigts pénétrer ma chair tellement ton plaisir est violent. Je te sens te gonfler d'un coup, et te tendre pour libérer ta semence chaude en puissantes giclées .Tu te repends en moi par saccades, mon sexe se contracte à chaque pulsations autour du tien .

Nous restons comme cela un long moment ...

tes mains ne cessent de caresser mon corps et fais renaître un désir tout aussi fort que l'instant d'avant.

Quand je reviens a la réalité je suis allongée sur le lit je m’aperçois que j'ai une main écrasée sur la vulve, je suis prête à l’orgasme. Je ferme les yeux je te vois en train de jouir, je me prépare au doux frissons,  j'accentue mes caresses et monte en moi un immense plaisir ,hooooooooooooooooo... je crie, les sons se répercutent contre les murs pour remplir la pièce ou je suis seule. je suis en nage je me laisse retomber avec ce sourire de satisfaction.

je ne peux cesser complètement cette activité , tant mon sexe palpite encore des caresses qu'il vient de recevoir..... hummmmmm

je sens déjà remonté en moi cette vague de chaleur qui reviens prête à revenir encore plus forte..... alors repart le ballet de douceur .....hummmmm j'adore....

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 14:03

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Pour l’été je suis invité par une amie à venir passer quelques jours chez elle et je passe de bons moments en sa compagnie….

Nous reparlons de notre jeunesse, nos échanges sont riches de souvenirs en communs.

Je suis enchantée de faire connaissance avec sa famille, revoir ceux que j'ai croisés dans mon enfance, tout ceux qui ont marqués une partie de ma vie.

Ce soir elle reçoit des amis pour un grand barbecue, beaucoup de travail nous attends, ensemble ainsi

Tous sont impatients de commencer la fête, un proche voisin vient installer la sono, un autre apporte des chaises et tout se passe dans la joie et la bonne humeur.

Avec quelques personnes de bonne volonté nous préparons cette fête destinée à la pendaison de la crémaillère…. tout le monde s'active en vue des festivités, et très vite arrive l'heure tant attendue.

J’aide mon amie pour accueillir les invités, les aider à se débarrasser de leurs effets personnels et à se mettre à l'aise.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver un homme accompagné de sa femme et de ses enfants !

Cet homme n'est autre que mon contact sur Internet, on ne s"est jamais vu autrement que devant nos écrans.

Évidemment il n'est autre que mon amant virtuel et le voilà devant moi en chair et en os, je lis dans son regard la surprise et aussi une légère inquiétude étant avec sa famille; il doit penser que son monde va s'écrouler, là.

Mais discrètement, je lui fais signe que tout va bien, qu'il n'a pas à s'inquiéter, je sais prendre des responsabilités dans des moments critiques.

Pourtant en moi brûle le désir énorme de le serrer contre moi , de le sentir, d‘approcher mes lèvres des siennes et de me fondre dans un baiser plein de promesses…..

J'espère que sa femme se retirera au moins le moment de coucher les enfants en priant qu’ils aiment qu’on leur raconte une petite histoire avant de dormir ,avec cette pensée, je garde  l'espoir de pouvoir le toucher, l'approcher…..

D’un seul coup, un énorme doute grandi en moi, suis-je à son goût, je ne suis plus une image mais une personne bien réelle faite de chair et de sang, son regard ne m’a pas paru fuyant c’est déjà une bonne chose.

Tous les invités sont arrivés, de là se forme des petits groupes unis par affinités, ages, goûts, de partout fuse des rires, on peut attraper au passage une bribe de discutions et se mêler à un groupe pour partager nos opinions, ou s’esclaffer d’une histoire drôle.

Et moi, j’aide mon hôte en passant parmi les invites avec  tantôt des plateaux d'amuse gueules, tantôt un plateau garni de verre rempli de divers cocktails et boissons alcoolisées ou non.

Et voilà le moment ou je passe près de toi..

Tu es en grande conversation avec Patrick, le mari de mon amie, et ta femme est un peu plus loin avec tes enfants.

Je me poste devant toi avec mon plateau, et Patrick fait les présentations, Laurent je te présente «  Marie »   une amie de Françoise et Marie, «  Laurent » un ami d’enfance.

Je tends la main, tu la prends et m’attire vers toi pour m’embrasser délicatement sur la joue, à cet instant je sens monter en moi le désir de t’embrasser d‘un baiser fougueux, de te prendre la bouche et de te savourer avec délectation.

Je suis toute retournée, je sens ta main qui tient la mienne, je perçois ton désir, je suis rassurer, tu es tout comme moi désireux d’aller encore plus loin, bien que je n’aie plus grand chose à apprendre, sinon que le contact est merveilleux et ce parfum, hummmm

Je m’en imprègne à fond, je voudrais que le monde autour de nous s’efface, disparaisse, qu’il n’y est plus que nous deux.
Mais vite il me faut reprendre pied Patrick ne dois rien soupçonner tant pour toi que pour moi

Tu te tournes instinctivement vers ta femme qui est en grande conversation et elle te fait un signe pour te dire que tout va bien.

Nous allons bientôt passer à table, je choisis de m’installer en face de toi, mais je me rétracte.

Vraiment ce n’est pas sérieux être si près, prendre le risque de se faire remarquer, d‘éveiller des soupçons.

Donc je m’éloigne à regret, mais avec quand même un regard qui se pose sur toi, ce corps je le connais par cœur sans l’avoir touché, tes mains l’on tellement parcouru pour moi…hummmmmmmmmm ce souvenir a pour effet de réveiller le démon de la luxure.

Le repas se passe dans la bonne humeur, un buffet permet à chacun de se déplacer donc de se croiser, d’échanger quelques paroles entre convives, à plusieurs reprises je me trouve près de toi et je vibre quand tu es proche, ta main me frôle à plusieurs reprises, je suis tendue mais je te veux, je te désire plus que tout en ce moment, je sens en moi ce désordre qui me bouscule et me fait chavirer…

Un des voisins met la musique et les invités vont sur la piste de danse improvisée sur la terrasse de la maison, tout le monde se trémousse et s’amuse nous échangeons nos partenaires..

Je voudrais déjà être arrivée à toi, me serrer contre toi, te sentir.

Ce moment arrive enfin tu me tends la main et sans hésitation je la prends, tu me rapproches de toi et pose tes mains sur ma taille et moi je les pose sur tes épaules.

Je meure d’envie de te sauter au cou, je dois me contenir, c’est très difficile, tu me glisses à l’oreille un « je t’aime » j’ai « envie de toi » et je ne puis répondre que par « moi aussi je te veux.

La soirée continue dans la bonne humeur et les invités commence à partir les uns après les autres, je te vois, te préparer avec ta femme et tes enfants, le moment de se quitter est proche, mon cœur se serre, mais que faire, que dire.

J’ai envie de crier de te retenir, je sais que tu ne vas pas être loin, tu es dans un chalet a quelques centaines de mètres réserver pour cette occasion. Mais je suis triste et le moral en prend un coup.

Je vais rejoindre les autres, ensemble nous commençons à remettre de l’ordre, pour que toutes et tous nous puissions aller dormir dans de bonnes conditions.

Quelle surprise de te voir revenir seul, après une vingtaine de minutes, tu viens vers moi et me dit, « j’ai dit à ma femme que je venais donner un coup de main » et me voilà.

J’en suis tout émue, toute confuse, il ne reste plus personne pour ainsi dire, quand mon hôte vient vers nous et nous remercie pour notre aide, je suis contente de pouvoir me rendre utile et de te savoir avec moi c’est merveilleux.

Après un long moment, nous nous assoyons sur le canapé du salon, toute la maisonnée est calme et tout le monde est endormi, nous sommes seuls.

Le chat de la maison vient sur tes genoux et tout naturellement je tends ma main pour le caresser, dans cet élan nos mains se touchent, je savoure ce contact, je vais plus loin….

Je pose ma main sur ta cuisse, tu ne bouges pas seul ton regard plonge dans le mien.

Je continue mes attouchements, le chat toujours sur tes genoux ronronne de plaisir

Et dans tes yeux je lis le désir de passer du virtuel au réel, à mon tour je me fais chatte, je m’approche, viens poser ma tête sur ton épaule, que j’ai souvent désiré pour moi seule

J’ai l’impression de vivre un rêve, depuis tout ce temps je ne t’ai touché qu ‘en posant mes doigts sur mon écran, attrapé tes baisers et ressenti tes caresses par le biais d’une machine.

Entendre les mots plutôt que les écrire hummmmm

Nous sommes fous, rien n’est plus doux qu’être là en cet instant, je te veux la sans préambules

Vite, je veux ton corps contre le mien, sentir que tu m’écrases, le fait d’être avec toi augmente mon plaisir, à cette idée je suis toute mouillée; je sens cette humidité, cette tiédeur qui fuse entre mes cuisses, nous nous enlaçons un baiser fougueux qui n’en fini pas, cela dérange le chat qui quitte tes genoux, là je vois à quel point tu es tendu toi aussi. Nous n’avons même pas besoin de nous parler, nous nous connaissons, dans tous nos désirs, dans tous nos plaisirs, tes caresses trouvent tout de suite l’endroit comme si un aimant les avaient attirés, tu sais ce que j’aime au même titre que je sais ce qui te fait jouir

Mais j’ai du mal à me détendre car je suis dans le salon de mon amie et elle peut arriver à n’importe quel moment. Tu me dis « chut suis-moi » et nous voilà dans le jardin, où tu as déjà repéré un endroit tout à fait convenable et as l’abri des regards, je réalise vraiment a cet instant ou tu me prends la main que je suis avec toi, que tu es là ce n’est pas un rêve.

Tu as remarqué un garage ou es stationné un espace et un cabriolet, et je crois que je vais étrenner l’espace avec toi, dans la plus grande intimité.

Tu t’actives à préparer ce petit nid d’amour, je te regarde et je me dis que bien des fois j’ai imaginé notre rencontre, mais jamais celle de me retrouver dans la voiture d’une amie pour y vivre cette idylle. Je monte dans l’espace et m’allonge près de toi, tes lèvres me cherchent et les miennes aussi, dans un baiser sans fin je m’abandonne dans tes bras. Ta langue me goûte et la mienne te savoure, des sons gutturaux sorte de nos gorges, nos gestes son désordonnés

Et il nous faut faire un effort surhumain pour reprendre le contrôle de soi, tant notre désir est énorme.

Tu me serres très, très fort dans tes bras comme pour te persuader que tu es bien là avec moi, comme de se pincer pour savoir si l’on rêve.

Je me laisse imprégner de ton parfum et tu commence à caresser mon corps avec une infinie douceur, tes mains glissent dans mon dos, sous mon chemisier et viens d’un geste expert dégrafer mon soutien gorge.

Les miennes te déshabillent, te caressent, te découvrent, nous sommes prêts tous les deux à commettre cet acte tant désiré, tant espéré. Je me pose la question de savoir à quelle sauce je vais être dégustée. Je ne peux résister à te mordre tendrement dans le cou, tes doigts vont directement se poser sur ma toison qui est taillée en petit triangle et tu les passes travers mes petites bouclettes, ça me donne des frissons partout ; ce qui ne fait qu'augmenter mon excitation, tu sens bon, tu sens l’homme. Tes doigts jouent avec mes lèvres, mon clitoris... je dégouline et je gémis.

L'excitation est à son comble, en me fouillant si bien, j'en ai les jambes qui tremblent.

Tes doigts sont très habiles, je sens mon plaisir monter. Je veux à mon tour te goûter ; je m’écarte légèrement de toi et ma bouche vient se poser sur ton sexe que je tiens entre mes doigts et que je fais aller et venir, je te sens gonfler, durcir, ton gland est tout luisant de plaisir, j’y vois une perle d’envie qui pointe et viennent se poser sur ma langue, hummm

Je resserre mes lèvres autour de ton sexe et tu donne de légers coups de reins, l’excitation montant, tu deviens de plus en plus rapide.

Tu t’enfonces profondément dans ma gorge, je te suce avec ardeur, mes yeux se plongent dans les tiens, ce regard est identique à celui que j’imaginais plein de tendresse et de bonheur à la fois. Par quelques succions délicates je ralentis le mouvement, tu veux à ton tour goûter à mes chairs, poser ta bouche sur mon sexe ou perle déjà le fruit de mon plaisir.

Tu me fais profiter de ta langue avec beaucoup t'intensité. Je prends ta tête entre mes mains pour mieux te presser sur ma vulve humide.

Essayant de t’enfoncer le plus loin possible, je prends un plaisir incroyable. Il te suffit de remonter et de lécher mon clitoris quelques secondes pour me faire jouir une première fois. hummmmmmmmmm Laurent comme c’est bon. Tu me prends la tête et m’embrasse tendrement, joignant ta langue à la mienne, et le grand jeu recommence. Nous, nous caressons, je ne veux pas perdre une seconde j’ai trop attendu ce moment de me retrouver seule avec toi.

Je m’allonge dos au sol et tu viens près de moi, ton sexe est toujours très tendu et je veux le sentir glisser en moi je te veux, là tout de suite. Sans pudeur je soulève mes jambes et te laisse entrevoir mon sexe débordant de d’un nectar sucré, tu te positionnes au-dessus de moi et je tends mon ventre vers toi pour, viens enfonce ta verge dans ma petite fente chaude, hummmmmmmmmmmm encore viens.

Tu me pénètre et tu fais des mouvements de vas et viens hummmm c’est bon, ne t’arrêtes pas continue j’adore ça ho oui Laurent continu haaaaaaaa je jouie.

Je te tiens par les épaules, m’accroche à toi, je rêve, ce n’est pas possible c’est trop bon.

Pendant les secondes qui suivent, nous nous laissons aller à notre jouissance jusqu'à ce que ni l'un ni l'autre ne puissions dire quoi que ce soit.

Tu viens te répandre en moi, je sens gicler ta sève qui me remplit le ventre d’une chaleur torride, Tu es comblé, tu es épuisé, mais ce n’est pas fini, un petit moment de repos s’impose, je suis en nage et toi aussi. Tu reste comme ça sur moi, nous fermons les yeux, sans rien dire, ta main caresse mes cheveux j’aime sentir ton contact, ce n’est pas une illusion, je te sens vraiment.

Après un long moment de détente je sens monté en moi un besoin énorme de te sentir encore et encore, je veux jouir toute la nuit dans tes bras.

Je m'approche encore un peu plus et je pose un doigt sur tes lèvres. Je vois tes yeux pétiller de plaisir. Tes mains caressent mes seins. Ta langue enroule mes petits morceaux de chair érectile. Le rythme de ta respiration s’accélère. Tu me caresses le ventre. Ma main atteint ton sexe tendu et humide par l’excitation. L’odeur douce de ton sexe pénètre mes narines. Je caresse avec beaucoup de douceur tes testicules. De l’autre, j’empoigne ton pénis et le porte à ma bouche. Alors tu ressens la douceur exquise de mes lèvres se refermer sur ton gland, je te suce comme une affamée, je veux sentir dans le fond de ma gorge ce nectar qui vient du plus profond de toi et toi tu es occupé avec ma petite fente des gémissements viennent

Naturellement emplir l’habitacle de la voiture. Tu concentres ton activité buccale sur ma zone clitoridienne. Je jouis en retenant un long cri de plaisir.

Et tu jouis au fond de ma gorge, je sens glisser ta sève brûlante je souris, je suis bien j’en veux encore, je ne veux pas que ça s’arrête, mais tu dois repartir, et je dois te laisser, mais je n’en ai pas envie, je veux te garder, reste........ hoooo

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Vendredi 15 juin 5 15 /06 /Juin 13:45

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Il fait chaud en cet après- midi de juillet, je suis fatiguée par cette chaleur qui sévit depuis plusieurs jours.
J’attends, deux de mes amis doivent passer me prendre, pour faire une sortie en bord de mer, du coté de Trouville sur la côte normande près de Deauville
Et j’avoue qu’avec cette canicule, j’ai hâte d’y être.
Le départ est prévu pour 17 heures, nous y allons pour savourer le coucher de soleil avant tout, profiter d’être ensemble et qui sait peut être finir la soirée au casino.
En attendant, je m’allonge sur mon lit, je me mets à l’aise, J’ai beaucoup trop chaud.
J’ai laissé les fenêtres ouvertes pour avoir un semblant de courrant d’air.
Mais rien à faire la chaleur est insoutenable, j’ai du mal à me détendre, j’opte pour une douche fraîche, ainsi je pourrais patienter dans les meilleures conditions.
Je m’installe sous la poire de douche, l’eau dégouline sur moi, hum !!!!!!
Je prends du gel douche dans le creux de mes mains et m’en badigeonne tout le corps, mes mains passent sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses et s’attardent entre mes jambes, hum je ne résiste pas, je me caresse, mes doigts montent en moi et m’arrachent des soupirs d’aise mmmm ! Que c’est bon !
Après, plusieurs minutes, passées dans cette atmosphère de câlins.
Je quitte ma salle de bain, et je m’allonge sur mon lit à peine séchée et je continue mes attouchements, pour me faire dormir.
Mes mains visitent chaque partie de mon corps, je me trémousse, relève mes jambes en repliant mes genoux, j’écarte mes cuisses et mains viennent se poser sur ma toison douce et frisée,
De mes petites lèvres s’échappe un miel au goût sauvage, mes doigts glissent en moi sans aucune résistance, ma respiration est haletante et des hummmmmmmmmmmm de plaisir fusent entre mes lèvres.
Le son de ma propre voix empli la pièce et couvre les bruits extérieurs.
Je n’ai pas entendu la voiture de mes amis arriver, ni entendu ceux ci entrer dans la maison.
Ils sont attirés par mes gémissements, et s’arrangent pour que je ne soupçonne pas leur présence, ils ont plus deux heures d’avance, et moi je n’imagine même pas un seul instant qu’ils aient décidé de venir plutôt, pour boire un verre en ma compagnie.
Je suis dans mon monde de délices, ma langue passant sur mes lèvres, les jambes écartées
Je m’adonne au plaisir, sous la pression de mes mains mes fesses se soulèvent, les pointes de mes seins durcissent, mes jambes se rabattent sur mes mains pour les enfermer sur mon sexe qui regorge de chaleur, et les lèvres mouillées de désir, je ne pense qu’à mon plaisir.
Vous êtes tous les deux à l’entrée de ma chambre à observer mon excitation, votre sexe est en érection, mon érotisme, mes caresses vous troublent.
J’éveille en vous un appétit qui grandit de plus en plus, mon corps suinte d’envie.
Vous, vous échangez un regard qui en dit long sur vos intentions, alors que je suis la tête enfoncée dans mon oreiller, la bouche entrouverte, ma langue passant sur mes lèvres, imaginant un homme nu devant moi son sexe entre les mains, prêt à être avaler.
Sans faire de bruit vous pénétrez dans la chambre, je suis tellement partie de ce manège de douceur que rien ne laisse filtrer aucun son extérieur, le ciel pourrais bien se déchirer en deux, Je ne suis plus là.........
Par ce temps vous portez un minimum de vêtements, short et tee- shirt les températures avoisinent les 30° a l’ombre.
Je suis dans une extase de bonheur, je sens un léger souffle près de moi, j’ouvre les yeux, vous êtes là.
Votre regard est posé sur moi, vos yeux sourient, par cette chaleur votre peau est luisante comme si vous sortiez de la douche.
Vous, vous regardez, un sourire sur vos lèvres ne laisse aucune illusions sur vos résolutions.
Allons, pas d'excitation!  Soyez sages, mais je comprends vite que cela ne suffira pas pour vous calmer...
J’attrape le drap qui est près de moi pour me couvrir, mais la main de Lou retiens mon geste,
Son regard semble dire « ne sois pas fâchée, pardonne, nous.
Sa bouche vient se poser sur la mienne et un baiser brûlant tourne autour de ma langue.
J’ai peur qu'ils ne recherchent autre chose que leur seul plaisir, aussi je prends avec sagesse, la résolution d'entrer dans leur jeu.
J’ai décidé de ne pas me débattre, mais je ne veux pas participer et me dis qu’en me laissant faire, ils viendront rapidement au terme de leurs pulsions sexuelles.
Lou prend ma main et la dirige vers son corps et  la pose à plat sur son torse en passant sous son tee shirt, sa peau est chaude et moite par cette chaleur,
Malgré mon désir de rester indifférente à leurs caresses, A ce contact un nouveau plaisir monte en moi. Je sens rapidement des frissons me parcourir.
Je me sens prise au piège comme une victime qui désire de ses assaillants de la délicatesse, de la douceur. Je suis entourée des nymphes de la luxure
Il m’est souvent arrivé de pensé à toi près de moi, t’imaginer avec moi dans des situations particulières, mais de là,  à concrétiser cet instant.
Je lance ma main à la recherche de ton sexe et la pose sur ton short dont le tissu est dressé comme une toile de tente et ne laisse aucun doute de ton état.
Je commence à te caresser à travers le tissu qui est déjà mouillé par l’envie qui monte en toi.
Pierre, me regarde avec ce regard enjôleur, et je vois dans ses yeux en même temps une étincelle de complicité qui brille du désir inéluctable de partager mes caresses.
Je me redresse et tends mon autre main vers lui, il est aussi tendu que toi et son short aussi est humidifié par son désir de faire l’amour.
Je suis assise sur le bord du lit, vous êtes en face de moi, mes yeux son à hauteur de vos sexes, tendu dans vos vêtements qui ne demande qu’à être libérés.
Je commence par toi « Lou ». Je me lève et te fais asseoir sur le lit, avec des gestes sensuels je t’enlève ton tee shirt, tu lèves tes bras et doucement je tire le tissu vers le haut et  au fur et a mesure que ton corps se dénude, je pose mes lèvres et goutte à ta peau, ton vêtement passe au-dessus de ta tête et je te découvre à demi-nu.
Pierre ne perd pas une seconde, il profite de ce que je sois occupée avec toi pour passer derrière moi et s’agenouille, il glisse une main entre mes jambes et de la paume de sa main entame une caresse tout en posant un baiser sur mes fesses. hummmm  quel délice.
Il se relève et se plaque sur moi.
Je sens son sexe tendu sur mes fesses et ses mains prennent possession de mes seins dont il fait rouler les bouts entre son pouce et son index alors que je pose mes lèvres sur ton torse et passe ma langue sur ta peau.
Je pousse légèrement ton corps en arrière pour que tu t’allonges sur le lit.
Mes lèvres continues leur descente et viennent se poser sur le tissu tendu de ton short, elle se délecte de ce parfum qui en émane .
Pierre toujours plaquer contre moi suit mes mouvements comme s’il était soudé à moi….


Tu soulèves légèrement tes fesses et je fais glisser le long de tes cuisses ton short et ton caleçon en même temps, ton sexe qui se dresse devant moi est fier comme un paon,  il est énorme, gonflé par le désir.
Je tombe à genoux devant toi je le prends par le bas, le caresse, puis remonte jusqu'au gland que je titille avec mes doigts, je ressens du plaisir à te tenir dans ma main.Je te masturbe doucement en laissant apparaître ton prépuce tout luisant de désir, tu poses tes mains sur ma tête et me caresse les cheveux.
Je vois sur le bord de ton gland tout violacé une perle de ton jus d’amour et je pose ma langue pour en recueillir le nectar d’où se dégage un parfum envoûtant, je te prends dans ma bouche. Je t’entends gémir de plaisir sous mes caresses mouillées, ma langue tourne autour de ton sexe et je le fais aller et venir sur ma langue, le suçant avec passion. Le désir est à son comble, et comme un enfant assoiffé au moment de la tétée, je suce ce membre d’une taille démesurée,  ta tête par en arrière et je suis bouleversée de voir ce rictus de satisfaction se dessiner sur ses lèvres que ta langue caresse, je t’aspire avec une frénésie hors du commun.
Pierre quand à lui profite de la situation, toujours dans la même position, mais une chose pourtant à changer, je sens contre mes fesses son sexe mis à nu, je n’ai pas réalisé qu’il s’était dévêtu, trop absorbé par le plaisir que je partage avec Lou.
Il passe un bras sous mon ventre et m’attire contre lui, je cambre mes reins pour lui offrir mon sexe qui ruisselle de plaisir, du désir d’être possédé. Son membre dur tendu et se pose à l’entré de ma grotte toute luisante. Son gland  me pénètre en une lente progression, des ondes me parcourent lentement, une chaleur intense m’envahi alors que son sexe continue dans un va et vient incessant, il ondule en moi dans un rythme grandissant.
Il me comble de toute sa grandeur, ce n'est que jouissance, des frissons  partent de mon ventre pour irradier tout mon corps de la tête aux pieds.
Ses mains me caressent les seins et le ventre, viennent se poser sur mon clitoris qu’il masse dans un mouvement circulaire et qui a pour effet de pousser mes fesses contre son sexe et accompagner sa cadence infernale.
Soudain je sens dans mon ventre son sexe se raidir et s'immobiliser au plus profond de moi, il se gonfle d'un coup et se libère avec force.
Je ressens comme jamais encore je n’ai senti cette semence jaillir en moi en puissantes giclées, remonter dans mon ventre et investir mon corps.
Lou doit ressentir mes tressaillements car, sans bouger, il jouit lui aussi en chaudes giclées qui inondent ma bouche.
J’aime particulièrement le moment où l'homme ne maîtrise plus son sexe qui se gonfle de désir se répands en puissantes giclées. Oui j’aime le moment où la liqueur parfumée de l’homme envahit ma bouche, et glisse, toute chaude, sur ma langue.
Nous sommes épuisés et, nous, nous allongeons sur le lit, je suis entre vous et vous me couvrez de baisers avec une tendresse infinie. Vos mains continues leurs caresses tendres et langoureuses ce qui a pour effet de raviver le feu à peine éteint qui brûlait en moi. Je viens poser ma tête sur le ventre de Pierre, elle se soulève à la cadence de sa respiration qui a repris
Un rythme presque normal, je me trouve face à son sexe qui est tout cotonneux et doux, sans vigueur comme endormi et reposant sur le haut de sa cuisse, qui semble lui servir d’oreiller.
Je ne résiste pas au désir de poser ma main entre ses jambes et remonter pour presser entre mes doigts ses testicules que je masse et soupèse avec douceur.
Ce qui a pour résultat de faire sursauter par petit coup ton sexe endormi, il se gonfle et s’allonge à un rythme régulier comme s’il battait la mesure sur une musique diriger par un grand orchestre dont je serais le maestro.
Lou derrière moi me caresse le dos avec des gestes lents et savoureux, il passe sur une zone très sensible qui se trouve juste au creux de mes reins.
Toutes caresses passant par-là, occasionne des réactions des plus sensuelle, et me font perdre tous mes moyens. Je pars dans un univers de douceurs et de voluptés hummmmmmmmmm !!
Oui !!!!  Encore !!!! Ne t’arrête pas……. Continue !! J’ai le sentiment d’être une perle entre les mains d’un orfèvre, une plume entre celle d’un écrivain. hoooooooooo  ouiiiiiiiiiiiii !!
Je m’ouvre comme une fleur, ce qui ravive tes sens et tes mains continues leur voyage et viennent se poser sur mon jardin d’Eden, où se trouve le fruit défendu que tu es près à déguster.
Pierre se joint à Lou pour me prodiguer lui aussi des caresses qui me transporte au-delà de mes rêves. Le désir est immense, je prends Pierre entre mes lèvres, je le pose sur ma langue son sexe est plus long et plus fin que celui de Lou qui m'a laissé une sensation agréable dans la bouche, ta tête s'enfonce dans l'oreiller et tes yeux me supplient de ne pas arrêter, je suis toute retournée par ce regard.
Lou qui se trouve près de moi, viens poser sa tête entre mes cuisses, hummmm. Il entame un effleurement de mon clitoris avec la pointe de sa
langue, et pousse un de ses doigts dans mon antre assez humide pour satisfaire les plus assoiffés…je me tortille de satisfaction.
Je ne sais ce qu’il va advenir de cet instant mais c’est comme un aphrodisiaque puissant, qui a déjà le pouvoir de me dévorer de l’intérieur. Je soulève mon ventre pour aller à la rencontre de sa bouche.
Une vague de plaisir et de désir s’entrechoquent au creux de mon ventre.
Mes jambes viennent se resserrer autour de sa tête et une autre vague de bonheur m’envahie.
Mon bas ventre ondule sous les caresses de sa langue et je sens que je vais jouir,
Je me tends comme un arc lorsque la jouissance déferle en moi.
Sous l’effet de cet orgasme, j’ai un hoquet de plaisir, étouffé par le sexe qui fouille ma bouche, je me laisse totalement aller aux assauts de mes amants.hummmmmmmmmmmmmm

Lou qui tout gonflé de désir s'est déjà installé entre mes cuisses et a posé son sexe sur mon clitoris qu'il caresse de son gland. Il le fait aller et venir sur ma vulve qui veut le happer, puis il vient en moi et, poussant son bassin en avant, il entre profondément dans mon jardin. Je l'accueille avec bonheur, allant le plus loin possible, doucement, puis dans un rythme de plus en plus endiablé, il accélère pour arriver de nouveau à la jouissance.
Je le sens prêt à exploser dans mon ventre, et je me soulève à chaque coup donné
Pour, qu’il puisse être délivré ! Sentir au creux de mon ventre cette semence douce et chaude, se rependre en moi.
Pierre, est de plus en plus agiter mes gémissements et ceux de Lou l’amène dans un cri de soulagement à se répandre sur ma langue, je sens ma bouche se tapisser de ce nectar mes joues mon palais ma langue goûte ce miel.
Lou a son tour se déverse au plus profond de moi et je sens venir un orgasme comme jamais je n’en avais ressentit.
Tout mon corps se raidi et tremble comme une feuille, tant le plaisir qui le traverse, est énorme, je me laisse retomber sur le lit avec vos corps encore sur le mien.
Une fatigue sans pareil s’empare de nous, un voile douceur, nous enveloppe, le silence retombe dans la pièce et, nous, nous endormons les uns contre les autres, satisfaits, heureux.

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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