Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 19:13

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Il n’est pas encore minuit et l’air est lourd du sommeil des hommes qui sont endormis, un ange survole un petit village où se trouve un homme qui de ses prières l’a attiré plus d’une fois.

Mais chaque fois qu’il se rapprochait de lui, il perdait le fil, le courrant qui l’attirait irrésistiblement…

Mais cette fois! il est tout proche, vraiment proche, il glisse sur sa peau comme une plume sur l’eau, ce parfum dans les bois alentours lui font sentir ces choses…

Il cherche, se rapproche et freine son envol, il est près d’une maison qui semble être enfin celle qu‘il a toujours cherché.

Se reposant sur le rebord d’une fenêtre entrouverte, il a devant lui un spectacle magnifique…

Son regard se pose sur cet être, celui qui tant de fois l’a appelé, c’est bien lui…il en est sur, il le sent .

L’homme repose endormi sur un lit entourer d’un voile léger ,comme au temps jadis, dans les contes de fée aussi léger que la tunique éthéré de l’ange qui replie ses ailes et le regarde.

Il est allongé sur le lit, nu, recouvert d’un drap à demi froissé entre ses cuisses musclées et dorées d’une vie saine au grand air, il respire la quiétude, le bien être…

Il a les traits qui rappellent un peu ceux d’un animal, qui se dresse les soirs de pleine lune, gorge déployer face à l’astre de la nuit pour faire ressortir toute la force qui est en lui.

Il est rempli de douceur, on peut lire sur son visage toutes sortes d’émotions, ses rêves le font voyager, ses rêves comme ceux de l’ange sont tapissés de volupté…

L’ange l’observe, sans un bruit, le visage éclairé d’un sourire malicieux

L’ange est d’une féminité bouleversante, un corps plein de rondeurs aux lignes douces, sa peau est pale et fragile, quel contraste avec cet homme qui est endormi sur des draps blancs avec un teint qui rappelle la couleur des terres africaine.

Depuis longtemps l’ange a imaginé cet instant, être près de lui, le regarder…

Il est beau, énigmatique, attirant…

Dans ses prières il réclamait une présence, un besoin de tendresse, de douceur, nimbé d’un autre sentiment beaucoup plus sauvage… mais tellement tentant.

Il se met à bouger durant son sommeil , et l’ange ne peux que savourer se corps qui s’agite au gré de ses rêves.

L’ange descend de la fenêtre et se rapproche sans bruit de lui, il laisse glisser à ses pieds sa tunique immaculée qui dévoile un corps de femme, elle est belle, avec une poitrine à faire pâlir le diable, son ventre est souple et a l’aspect du satin, une longue chevelure recouvre ses épaules en cascade , elle décroche ses ailes et s’assied sur le rebord du lit, elle découvre caché sous le drap un corps plein de promesse…

Offert à sa vue l’anatomie de l’homme la laisse songeuse, elle n’a encore jamais eu l’occasion d’en toucher un…Elle a déjà vu quelque part un homme nu, mais jamais de si près. Juste à coté d’elle, il s’étire laissant apparaître cet objet qui se redresse comme par fierté

Elle ose un doigt qu’elle pose dessus…A son contact il se redresse encore, et de la chaleur en émane, comme si un feu couvait en dessous…

D’un geste rapide elle retire sa main elle craint d’avoir réveillé un dragon endormi…

Mais sa curiosité l’emporte sur ses craintes, elle revient et pose sa main dessus .

Elle sent d’un seul coup comme une poussée dans sa paume, elle commence à le caresser, L’homme a l’air d’avoir le sommeil plus agiter, mais ne se réveille pas, il appuie instinctivement son sexe contre cette main douce qui découvre pour la première fois le sexe d’un homme.

Elle a le sentiment de tenir entre ses mains un cœur qui palpite doucement.

Elle regarde avec surprise la métamorphose qui s’opère, le sexe s’allonge, se redresse, se déploie, il laisse apparaître une surface plus foncé, plus lisse, brillant qui perle de rosée, devant ce spectacle elle est émue et se rapproche pour y déposer un baiser doux et chaud.

Elle a le désir de sentir sa peau contre la sienne, elle se couche tout contre lui, se laisse aller à des sensations nouvelles.

Son corps répond, frissonne, vibre, elle veut tout savoir, tout connaître

Cet ange apparue comme par magie, devient pour un instant « diablesse»

Elle a le désir de goûter à sa peau, de savourer chaque parcelle de son corps, de le posséder.

Ses mains le parcourent, se glissent sur ses épaules, puis descendent sur ses reins, s’arrêtent sur les fesses et en dessinent les contours avec douceur.

Sa bouche suit ses mains, sa langue se déroule et le savoure, elle se délecte de ce plaisir avec une gourmandise sans retenue. Maintenant, rien ne peut plus arrêter sa curiosité.

Elle découvre que son sexe a encore prit de l’ampleur, qu’il a l’air vivant .

Elle y dépose ses lèvres qui s’entrouvrent tout naturellement pour l’engouffrer, dans un nid accueillant, humide et chaud. Il a le goût étrange de l’amour, ce goût unique qui réveille en nous des instincts enfouis .

Elle l’abandonne un moment pour aller effleurer ses lèvres au goût fruité et sucré.

Il ouvre les yeux…

Il émerge de son sommeil, l’enlace tendrement , comme si elle était sienne depuis toujours.

Sans se poser plus de questions, comme s’il savait pourquoi elle était là,

Comme si tout ce ballet était naturelle, il écarte ses bras, elle se love contre lui, son ventre appelle les caresses, elle se frotte à lui et tout naturellement s’ouvre comme une fleur à l’aube de sa vie. Il pose ses mains sur sa peau, la découvre du bout des doigts;

Sous ses caresses elle feule comme une tigresse, elle a le bas- ventre en feu, avide d'un désir dévorant.

Comme dans un rêve il s’offre les désirs les plus fous, sa tête se glisse entre ses cuisses, de sa langue il la butine avec délectation comme une abeille …elle se laisse aller le tête en arrière…Il la baigne de baisers tendres et sauvages à la fois, la griffe d'amour au bas de ses reins, « c’est donc ça les plaisirs terrestre hum »

Il visite chaque partie de son corps fragile et tendre…jamais elle n’a connu de plaisir aussi intense, mais aucune peur, aucune angoisse ne l’arrête, elle a si souvent voulu répondre à son appel que tout son être peut lui appartenir… il peut en user comme il l’entend , elle est sienne pour la nuit.

Il a des doigts, presque des plumes qui la caresse d'un long filet de tendresse et s’enfonce de plus en plus profond, pour qu’elle les désire encore et encore, toujours plus fort, toujours plus loin….
il pénètre dans la douceur de sa chair, glissant peu à peu entre le renflement de ses lèvres devenues humides. Soudainement, sa caresse devient plus légère… hummm… oh combien savoureuse !!. Elle se met à gémir sourdement le corps pris d'un désir incontrôlable. Elle ferme les yeux, goûtant la saveur de cette caresse inconnue.

une seconde d'éternité l'enflamme...

Il est suspendu juste au-dessus d'elle, se délectant du plaisir qu’il lui procure

Quand d'un oeil égrillard elle s'en aperçoit, elle se rend compte que le nuage de ses délices est accroché à son sourire empreint de volupté..

Jamais dans son corps autant de sensations l’ont traversé, elle est certaine que son plaisir n’a pas atteint son apogée…

Comment calmer cette énergie qui éclos en se moment dans tout son corps, ses seins sont tendus et n’attendent que d’être caressés, pétris, léchés.

Elle ressent un besoin d’être envahie, cette force est incontournable, elle veut, attend, désire de toute son âme qu’il la fasse jouir bien que cette sensation lui soit étrangère. Ce besoin jusqu’alors inconnu devient vital,

Impossible d’imaginer autre chose, de penser à autre chose, ce qu’elle veut là à cet instant…c’est lui , elle a envie qu’il glisse sous sa peau pour ne faire plus qu’un.

Il doit le ressentir car ses mains, son corps, ses lèvres, son être tout entier la possède, il perçoit sa poitrine qui se soulève. Il est partout en dedans , en dehors, ses mains caressent ses seins, sa bouche les suçotent.

Elle entend ses gémissements qui se mêlent aux siens, elle est sur le dos les jambes écartées sans aucune pudeur, il la lèche partout avec une délicatesse sans pareil, de cette langue affamée, qui savoure enfin son bouton de chair brûlante « hooo quel délice » . elle est trempée son corps est secoué de soubresauts…

Devant ce spectacle, il est gonflé, fier, beau, elle sent contre ses flancs son sexe qui est dur, il doit être tendu au point de lui faire mal.

De nouveau elle l’attire près de ses lèvres… Fou de désir, enfin, il se glisse en poussant son bassin en avant pour franchir la barrière de ses lèvres et s’enfoncer dans la douceur de sa bouche alimentée par un feu ardent.

Elle le lèche à petits coups de langue, nerveuse, tourbillonnant au dessus du gland

Il est excité de voir les allers et retours de son sexe qu'elle dévore avec gourmandise. Elle s’accroche à ses fesses qu’elle malaxe avec ardeur, ce qui a pour effet d'augmenter l'excitation, son bas ventre est aussi tendu qu'un tambour

Elle perçoit la montée de sa jouissance qui arrive grâce à quelques gouttes annonciatrices de son plaisir…

Mais il se calme , il veut la posséder la serrer fort contre lui, qu’elle ondule sous lui, qu’il se repende en elle…

Elle a en elle un feu incandescent qui ne demande qu’a être éteint, elle se met à plat ventre pour sentir le contact du lit sur son pubis, comme pour soulager un besoin, il se place au dessus d’elle , fait glissé un doigt tout le long de son échine, au passage de ses reins elles se cambre, laissant entrevoir ses fesses et son intimité.

Il glisse une main entre ses cuisses qu’il fait remonté sous son ventre pour accentué cette courbure…elle se retrouve offerte la poitrine plaquée sur le matelas et les fesses en l’air.

Elle devine derrière elle sa position, par le frôlement de son sexe sur ses rondeurs.

Il glisse une de ses cuises entre les siennes pour savourer chaque endroit, , la caresser, la pénétrer, au plus secret de son intimité

Un frisson la parcoure, elle veut le sentir peser sur elle, être recouverte de son corps robuste.

Dans son excitation il lui mord le dos, lui griffe la peau, lui caresse, doucement les lèvres gorgées de désir, s'amusant à glisser, lentement l'entrée brûlante de son sexe, puis se retire, la laissant ivre de désir.

elle se tortille comme une anguille, s’accroche au drap, se pince les lèvres…

Son sexe, dressé, nerveux, palpite contre ses fesses, elle se colle contre lui, elle veut sentir cette hampe monter en elle..

Enfin, il prend son sexe dans sa mains et le dirige à l’entrée de ses lèvres engorgées, Son gland se pose doucement à l'entrée de sa grotte affamée…

Venant s'accrocher à ses hanches, le rendant fou de désir il pousse son sexe dans ce fourreau de chair accueillant, chaud et humide. Sans un mot, il s' enfonce en elle, allant et venant, tout doucement puis de plus en plus vite.

leurs corps soudé dans une danse rythmé par une étrange musique, se laisse aller à l’ivresse.

Son ventre se met à se durcir, il sent les contactions du plaisir le submerger.

Un violent plaisir vient la terrasser, elle commence à gémir laissant soudain le plaisir l’envahir, tout son corps se met a trembler sous l’orgasme fulgurant qui la traverse.

A son tour il se déverse en elle en libérant de long jets puissant doux et chaud. Puis, il s'écroule sur elle épuisée par la jouissance...

Elle savoure ce moment ou il est sur elle détendu, son poids la rassure, laissant à son corps le temps de se ressourcer, de revenir au calme…

Elle se dégage en douceur, sort du lit en le regardant, il s’est endormi son corps est luisant de sueur, sa respiration est sereine, elle remonte le drap pour couvrir sa nudité qui a fait naître en elle se désir incroyable, mais au combien sublime.

Elle sourit, ramasse sa tunique, raccroche ses ailes, en arrache une plume qu’elle dépose sur l’oreiller, pose un baiser sur ses lèvres et repart comme elle est venue sans un bruit espérant secrètement revenir …

A son réveil verra t il cette plume ou sourira t il a un l’idée d’un merveilleux rêve.

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 18:26

Je suis venue très tôt ce matin, pour faire ton ménage et je suis surprise que tu sois encore au lit !!!!!!!!!
En général à cette heure tu es déjà dans ta salle de bain. Souvent il me vient à l'esprit que tu te caresses sous la douche pendant que je range ta chambre, et j'en profite pour me ressourcer de ton odeur avant que tu reviennes t'habiller car ce parfum me suit dans toute la maison et secrètement je fantasme sur toi........
Mais là, tu es allongé sur ton lit je sais que tu vas bien car ta respiration est sereine, mais je suis troublée par ta nudité ta couette ne couvre qu'une partie de ton corps, et celle qui s'offre à moi est très suggestive et me place dans une situation très gênante; mais c'est plus fort que moi, mes yeux ne peuvent se détourner de ton corps.
Tu n'es même pas conscient que je suis dans la pièce, tout mon être est bousculé par ce spectacle que tu m'offres.
J'hésite à faire du bruit pour ne pas te réveiller et en même temps je me dis que tu es sûrement attendu pour travailler.
Alors je sors de la chambre et je vais dans une autre pièce ou je commence à ranger en espérant faire suffisamment de bruit pour te sortir de ton sommeil.
Mais en même temps je suis angoissée à l'idée de te voir de mauvaise humeur, ...........
il me vient cette idée de faire couler un bon bain comme ça tu pourras t'y prélasser avant une dure journée.
Mais voila que la porte de la salle de bain s'ouvre, Je suis surprise et très embarrassée, tu es toi-même surpris de me voir car pour toi je ne devrais pas être encore la,
Ton réveil n’a pas sonné, et mon intrusion dans ta chambre bien que silencieuse t’a sorti du sommeil.
Et c'est en tenue d'Adam que je te trouve, tu as un réflexe presque naturel de cacher ta nudité avec tes mains et mon regard ne peut s'empêcher de suivre ton geste. Pour masquer mon trouble, je te propose de prendre un petit déjeuner et pendant ce temps je te prépare ton bain. Ton parfum rempli la pièce hummmmmmmmmmm.
Tu bois ton café et mange des céréales, puis tu reviens dans la salle de bain. hoooooooooooo je ne sais plus ce que je dois faire, je suis poussée par le désir de rester et de fuir.
Tu sens le trouble qui m'habite et comme si pour toi c'était naturel tu me demandes de te frotter le dos, sous prétexte que tu n'y arrives pas facilement tout seul"pourtant tu es équipé d'une brosse conçue à cet effet "mais je ne puis résister au désir de porter mes mains sur ton corps "hummmmmmmmmmm que c'est bon. Je prends le savon dans ma main et te frotte le dos,
Mes mains suivent naturellement les courbes de ton corps et sans pouvoir me retenir, je continue, le ventre et puis les fesses, je ferme les yeux pour m’imprégner des images qui défilent devant eux. Lorsque je les ouvre de nouveau, tu es gonflé à bloc, tu te tiens tout près de moi. Si près que ta verge frôle presque ma joue. Je suis ensorcelée par cette offrande demesurée. Ma bouche s'empare de cette virilité qui se tend fièrement vers moi. Ton sexe glisse sur ma langue charnue et contre les parois humides de ma bouche. Je suce ce sexe béni que mon bas ventre convoite. Je caresse tes fesses que je sens vigoureuses. Tu te retire toi-même du fourreau qui t'aspire.
Tu es magnifique….. Ta sensualité me coupe le souffle. Une cuisante brûlure se fait sentir entre mes cuisses…haaaaaaaaaaaa c'est génial je suis prise par ma propre ivresse, je sombre dans cet endroit charnel ou ton regard est une caresse pour ma peau. Je te reprends dans ma bouche et avec un mouvement de va et viens rythmer par les coups de reins que tu donnes et qui deviennent de plus en plus rapide, je sens monter en toi le plaisir et de ta gorge monte des râles qui en disent long sur l'extase qui s'empare de toi, mais pour cette fois je veux te voir jouir, je me recule légèrement et ton corps s’arque, ta main serre fermement ton membre et un jaillissement, comme un feu d’artifice se répand sur mes lèvres, mes joues et ma langue. Tu te laisse glisser dans la baignoire le temps de reprendre tes esprits. J’ai hâte que tu sois parti pour pouvoir me glisser derrière toi dans ton bain et m’adonner au plaisir solitaire qui s’est éveille au fond de mes entrailles, ce feu qui me hante depuis que j’ai posé mon regard en arrivant sur ta nudité hummmmmmmmm je suis presser de glisser dans cette eau charger des souvenirs récents mais combien envahissant. Vite sauve toi laisse moi jouir hooooooo ......Je suis toute mouillée.
Tu te lèves, je suis positionnée derrière toi, je tiens une serviette et tu t'approches de moi. Je suis au bord d'un gouffre mes mains et mes jambes tremblent. Je te passe la serviette sur tout le corps, rien que de sentir si près je suis troublée et sous ses attouchements tu redeviens très dur je ne puis m'empêcher de te caresser alors que tu devrais t'habiller pour partir."Va, habille-toi, sinon tu vas être en retard pour de bon »et j’ai encore beaucoup à faire, "surtout à me soulager". Je te donne un baiser et je file dans une autre pièce. Je t'entends prendre tes affaires et tes clefs, ça y est, tu pars ......
Je vais dans la salle de bain ou je plonge mon corps en feu dans ton bain encore chaud et parfumé, mes mains vont directement vers l’objet du désir et je me caresse jusqu’à la jouissance parfaite ...... Je suis morte de fatigue comme rien ne presse, je m’allonge sur ton lit et je m’endors avec un sourire qui ne peut plus quitter mes lèvres...

Angedesnues
Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 14:37

  possession.jpg

Ce matin, le temps est gris, je me prépare à faire mes taches ménagères et le repas pour midi, un poulet au citron, je suis sur de faire plaisir à tout le monde, cette recette fait des ravages à chaque fois.

Je suis seule à la maison, le temps maussade n’en est pas moins chaud et lourd, mon asthme de ce temps me serre la poitrine et j’éprouve des difficultés à respirer normalement.

Pour pouvoir le faire à plein poumon, j’ouvre les fenêtres et fait circuler un léger courrant d’air

Je le sens passer comme une brise légère, la sensation qu’un voile aérien glisse sur ma peau

comme pour effectuer un massage délicat comme le frôlement d’une aile de papillon. Je souris à l’idée d’une caresse fantomatique qui me frôle au passage.

Pourtant j’ai un drôle de sentiment…presque même une certitude !

Celle d’être épié, d’être suivis, quand je passe d’une pièce à l’autre, je ressens une présence, comment expliquer… j’ai cette impression que l’on a quand on est seule dans un endroit et qu’une personne est entrée sans avoir éveillée notre curiosité, et qui nous fait sursauter de la découvrir ; là devant nous, sois par la vision ou par une parole lancé dans la tranquillité de nos rêveries.

Mais je ne vois personne, je me penche à la fenêtre pour voir si éventuellement il n’y aurais pas un quelconque voyeur, un irréductible de la curiosité malsaine, qui ferais naître se sentiment…mais non, personne, pas âmes qui vivent.

Je ne sais pas pourquoi mais… j’ai vraiment comme l’intuition d’avoir près de moi un être impalpable,

Qui peut a tout instant me bousculer et se servir de moi pour assouvir un besoin charnel.

Pourquoi cette notion de charnel, peut être pour cet air qui m’entoure et qui dégage des odeurs de mâle, qui naît juste avant de faire l’amour…

Mon cœur s’emballe, je ne me sens pas en sécurité, j’ai envie de sortir d’appeler une de mes voisines pour l’amener ici, pour savoir si elle aussi a cette sensation, mais je passerais pour une idiote,

-c’est vrai quoi, il n’y a personne ! C’est sûrement dû à mon imagination, à l’air ambiant, cette chaleur moite qui me met à fleur de peau !

Je tends l’oreille, il me semble percevoir un son anormal, un souffle, mais pas celui de l’air qui entre par la fenêtre, plutôt celui d’un air brassé qui sort des poumons,

-je ne rêve pas non ! Il y a une présence ici… Elle est tout près, comme un loup qui guette sa proie, tapie derrière un buisson prêt à bondir en avant…

Un frisson me parcoure, comme une rivière glacée entre mes omoplates, je sens comme des milliers de petites aiguilles qui me piquent ça et là… C’est angoissant et tellement incroyable, que je tremble inconsciemment…

Oh non ce n’est pas mon imagination ! Je sens que l’on me frôle, que l’on cherche à m’attraper…

Je pousse un cri, ma bouche reste grande ouverte, mais aucun son ne franchit mes lèvres, je suis tétanisée par la peur…

Et là…  Je sens vraiment une main invisible me pousser, me déséquilibrer, impossible de résister…

Elle me force à m’asseoir sur le canapé avec une force sans pareil. Cette même main qui me touche à travers le tissu de mes vêtements.

Je sens une force énorme peser sur moi, mais je ne vois rien, pourtant j’essais de la toucher, je me débat avec toute l’énergie que j’ai en moi.

Pour la dégager, qu’elle parte loin de moi, mais pas moyen rien à faire, mes doigts brassent l’air,

Je la sens, j’entends ses grognements, ils me font penser à un être, mi- homme, mi- bête…

C’est impossible, je rêve, je suis dans un film de série B…

Tout est confus en moi, physiquement, il n’y a rien, mes yeux cherchent partout à se poser sur un être ou autre de palpable, de réel…

Je sens des doigts longs et durs qui me griffent le ventre, les cuisses, les seins. Je voudrais hurler.

Je vois mes chairs bouger sous ses attouchements, mes vêtements sont arrachés et s’éparpillent autour de moi

C’est comme si un poltergheist sévissait, je suis effrayée, mais la curiosité prend place sur la peur.

Comment vais- je vivre cette chose ? Elle n’a rien à voir avec une rencontre « normale ».

Je suis assise et je n’entends plus rien, me suis–je endormie ?? Était -ce un cauchemar ! D’où je vais me réveiller. Je tends l’oreille… Pas un son, plus rien, je suis sur le point de me relever, encore toute bouleversée de cette aventure, mais je rencontre de nouveau cet obstacle qui me repousse en arrière.

Ses mains me caressent, elles sont bien réelles. il y a une certaine animosité dans ses gestes et aussi une force phénoménale.

Un poids vient peser sur moi, il est lourd chargé de puissance venu d’ailleurs, la peur me colle à la peau, pourtant je suis à l’affût du moindre geste, du moindre bruit …

Ce corps qui pèse sur moi se durcit, grandit, je me sens de plus en plus petite…

J’ai du mal à concevoir ce qu’il se passe, j’ai de plus en plus le désir de sentir cette force en moi et en même temps je la redoute. Je suis comme hypnotisée…aurait il aussi le pouvoir de faire flancher ma volonté de résister…

Je suis retenue par des mains invisibles, elles me caressent, me palpent, une langue me lèche dans le cou, sur le ventre sur les seins font le tour des mamelons, m’arrache des soupirs, je les vois durcir, bouger, se tirer ver le haut comme pincer entre deux doigts qui cherche à les arracher…

Elle redescend sur mon ventre, fait trembler mes chairs, je me contacte, mais elle continue de descendre encore, vient finir entre mes cuisses, malgré moi, mon sexe devient humide et chaud

Je sens une vague de chaleur sous cette langue invisible qui me caresse de l’intérieur…

Il me prend le désir de tenir cette tête enfouie entre mes jambes de mes deux mains, mais elles viennent au contact de mon sexe. Hummmmmmmmm…

Je peux me caresser alors que cette force est là, qu’elle me touche, me caresse, me lèche, Je ne peux la voir, la caresser, cela me rend folle, cette expérience est démente et magique à la fois.

Cet être invisible est incroyable, il me fait jouir, je sens monter en moi l’orgasme il est de plus en plus fort.

Il vient sur moi, je sens son sexe qui est dur et égal à sa force appuyer sur mon ventre, mon corps le désire, il attend que cette chose entre en lui…

Des effluves venus d’un autre monde, un parfum d’animal me pénètre et réveille mon instinct de démon caché…

Il entre en moi avec une certaine sauvagerie, mon corps suit cette cadence infernale alors j’entends des sons inhumains je me surprend a gronder en même temps que lui a entrer dans ce ballet infernal.

Des sons qui viennent d’un lieu profond, presque caverneux.

Mais je suis comme possédée, je veux être entre les griffes de la bête être sa chose, je vois sur ma peau se dessiner des trace qui me brûle, ses ongles sont accrochés à moi, j’ai envie de rendre cette douleur aphrodisiaque mais mes doigts rencontre l’air, j’ai envie de le griffé, de le mordre, impossible, mes doigts s’enfonces dans les coussins, ce qui, soulagent ce manque de contact…

Je suis pénétrée d’une hampe sans fin, elle est forte et dur j’ai l’impression qu’elle n’en finira jamais, mon ventre frémit, mes jambes tremblent, les mouvements se font de plus en plus rapide, je l’entends râler, ses râles se mêlent aux miens…

Mon ventre se soulève avec une régularité soutenue, si je pouvais voir mon reflet à cet instant, je verrais une femme allongée seule sur le canapé, les jambes écartées les mains au dessus de la tête triturant les coussins.

Un corps arqué basculant dans le vide, les yeux rivés sur un point invisible avec sur les lèvres un rictus de satisfaction, et de jouissance.

Je le sens prendre possession de tout mon être, de tous mes sens, j’ai l’envie soudaine, de le goûter, pouvoir toucher son corps, peu importe son aspect, je veux le voir , j’ai le sentiment qu’il a plusieurs mains tant les caresses sont a plusieurs endroits à la fois…

Il se fait de plus en plus puissant, il continue de grandir en moi, je jouisssssssss hooooooooo

Si quelqu’un vient à passer par là, je vais le faire fuir par ces cris de plaisir qui se transforme presque en sanglots tant c’est puissant.

S’il continu, je vais perdre conscience, un tel orgasme n’est même pas imaginable…

Je suis en nage, mon corps retombe comme une chiffe molle, je n’ai plus de force, je suis anéantit par cette vague de jouissance qui vient de me traverser, je me laisse emporter par une vague de calme …

Je me réveille… ahhhh !! Merci mon Dieu, ce n’était qu’un mauvais rêve…je vais finir mon travail.

Je suis vraiment mal quand le temps est lourd, ohhhh , mais c’est pas possible, j’ai des marques violettes qui se dessine sur mon corps…oh ! nonnnn !! Je n’ai pas rêvé

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 13:03

love-internet.jpg


     Me voila connecté sur Internet, il est déjà tard ce matin quand tu viens me prendre en pv , tu me fais sourire en me parlant de ma carte de visite.
Je ne me rappelle plus ce que j'ai mis comme anecdote , je vais de ce pas voir pour me rendre compte par moi même.

Effectivement, ça se veut plein de sous entendus, mais j'adore jouer avec les mots et le sens qu'on leurs donnent.Tu es agréable, un peu curieux, mais que ferions nous sans ça.!!!

Quand tu me demandes ce qui me procure du plaisir, je te parle de mon goût pour écrire et aussi de mon plaisir a créer des images.

Tu veux en savoir plus, alors après un long moment, je t'envoies une de mes oeuvres. Au bout de quelques secondes tu me dit que ça te plait, je suis surprise par ta rapidité à lire , tu me dis que tu n'es qu'au début , que tu aimes et tu es en ce moment en train de gonflé… hummmmmmmmm tu me proposes de me faire partager tes impressions et je dis ouiiiiii.

Tu me fais un premier envoie qui est très bien, je vois ton torse nu, musclé avec un léger filet de poil qui descend jusqu'au nombril cette fine toison à elle seule me fait imaginer que je pose mon doigts dessus et que je descends vers l'objet qui se tends dans un boxer noir et blanc . J'attends la suite des évènements qui ne tardent pas a arriver, quand on lance une machine elle se met en route et il faut toujours quelqu'un pour l'arrêter.

je te découvre au fil des envoies avec un désir certain d'évacuer une tension énorme, sur la fin tu es très gonflé et très dur, je me lèche les lèvres et regrette qu'il y ai un écran entre nous.

Je dois partir, c'est très dur de quitter cette place ou j'attends de voir le résultat de notre conversation. Mais le devoir m'appelle je dois y aller. Dès que possible je reviens sur le net mais tu n'y es plu

Alors je repense à notre discutions et je retourne voir les photos .je suis seule dans cette chambre juste avec de la musique ,cette musique à elle seule me transporte loin.

je vais m'allonger sur le lit et je ferme les yeux j'ai du mal a t'imaginer car de ton physique je n'ai que ton corps, alors j'invente un visage que je pose dessus, la seule indication que j'ai c'est une barbichette bien tailler.

je te dessine des yeux un peu coquins avec une malice certaine au fond.

Un nez aquilin et une bouche sensuelle ourlée d'une fine moustache. Je te vois entrer dans cette pièce avec une démarche sûr de toi, tu te diriges directement vers moi et sans me laisser le temps de parler, tu t'approches, tu poses tes mains sous mon tee shirt, qui se trouve être ma seule tenue vestimentaire.

Je contracte mon ventre sous cette caresse et je m'enfonce un peu plus dans le matelas.

Tes mains parcourent mon corps et je me prête à ses caresses avec un désir violent de prolonger le plus longtemps possible cet échange de pure volupté.

Quand tes mains glissent sur ma peau, j'en ai la chair de poule et je sens monter dans mes entrailles un immense raz de marée qui fuse entre mes cuisses ! .

Je me cambre pour te laisser agir à ta guise, je suis une chatte... hummmmmmmmm...

Je viens à l'encontre de tes mains pour que tu accentues ces caresses, quel bonheur. Ta tête passe sous mon tee shirt, je tressaille de surprise et de convoitise. Mes mains viennent se poser sur elle à travers le tissu, c'est une sensation bizarre, je sens le contact de ta peau sur moi et le tissu entre mes mains et toi. Je sens tes lèvres qui s'approchent de ma croupe, ces lèvres, que mon imagination a peinte sur un visage inconnu. Une langue étrangère vient se poser sur le haut de mes cuisses. Et parcoure un chemin qui suis cette ligne qui passe de mon entre cuisse à ma gorge que je t'offre comme un cadeau.. hoooooooooooo quelle excitation s'empare de moi. Je te veux en moi je veux sentir cette lame de feu qui me pénètre.

Tu perçois cet appel et ta bouche experte viens se poser directement sur ma féminité, ce jardin chaleureux qui s'ouvre à toi au contact de tes caresses.

Ma tête part en arrière et un gémissement d'allégresse fuse entres mes lèvres. je pose mes mains sur ta tête et te pousses encore plus loin .c'est fabuleux cette langue fougueuse et pleine de ressource ,même dans mes rêves les plus doux je ne pouvais imaginer à quel degrés de jouissance je m'exposais. la pointe de ta langue joue avec mon petit bouton et chaque pression arrache de moi des gémissements de plaisir mmmmmmmmmmmmm. Tout en savourant cette débauche, je me redresse et cherche une position pour te faire partager ce bonheur .

Je touche du bout de mes doigts ton ventre que je frôle et caresse avec une dextérité presque innée.

Mon visage se rapproche de ton sexe ,ma bouche se pose sur cet obélisque que je convoite et qui se tient fier devant moi. j'entrouvre mes lèvres et commence à engloutir se joyau au parfum nacré et sucré. Nos soupirs , nos gémissements s'échappent de nous comme la vie.

Le temps n'est pas compté, mais je ressens le besoin d'être pénétrée, et tu es prêt ,je me dégage de notre étreinte et viens de mes mains attirer ton corps contre le mien.

Je sens contre moi ce sexe dur ,tendu qui pousse déjà pour une entrée fracassante.

De mes attouchements, je calme cet assaut et prends possession de toi, ma bouche entre dans le pli de ton coup, ma langue trace des sillons et suis la cascade de ton corps et je me sers je tous mes sens.

Je te sens, te goûte ,te touche et chacun de mes gestes t'extirpent des râles de bien être.

Puis je prends ton sexe dans ma main, je le serre et relâche la pression et je recommence encore et encore.

A chaque serrement, je te sens durcir un peu plus, tout naturellement tu te mets sur le dos, et moi je me positionne au dessus de toi les jambes écartées de chaque coté de tes hanches.

Ton sexe dressé frôle ma toison frisottante et j'offre à tes yeux tous mes charmes, mes seins lourd et charnus se présentent à toi fiers et insolents, tes mains agrippent chacun d'eux et les pétrissent avec frénésie.

Tes lèvres s'emparent de chaque téton et les mordillent, je rejette la tête en arrière et de mon être fuse des... hannnnn, ouiiiiii, encore .......et des tiennes des grognements presque qu'animal cette succession de gémissements augmente notre ardeur.

De mes mains je prends ton sexe et le dirige sur le mien, je le frotte d'avant en arrière pour faire glisser ton gland luisant de ton concentré d'amour sur les parois de mes chairs et sur mon clitoris. Puis je me plaque contre toi et ta virilité est bloqué entre nous.

En toi monte un désir fulgurant et en moi tout tremble de l'envie d'être possédée de l'intérieur comme de l'extérieur.

D'un geste rapide tu me prends par la taille et ,Je sens ton sexe me pénétrer profondément. tu me maintiens par les hanches pour aller et venir en moi, en de longues et puissantes ondulations. Je tressaillais de plaisir

tu es au fond de moi et tu remplis mes chairs, un orgasme violent explose en moi et tu sens se répandre sur ton bas ventre toute la liqueur de mon plaisir, à cet instant tu t'agrippes à mes hanches ,je sens tes doigts pénétrer ma chair tellement ton plaisir est violent. Je te sens te gonfler d'un coup, et te tendre pour libérer ta semence chaude en puissantes giclées .Tu te repends en moi par saccades, mon sexe se contracte à chaque pulsations autour du tien .

Nous restons comme cela un long moment ...

tes mains ne cessent de caresser mon corps et fais renaître un désir tout aussi fort que l'instant d'avant.

Quand je reviens a la réalité je suis allongée sur le lit je m’aperçois que j'ai une main écrasée sur la vulve, je suis prête à l’orgasme. Je ferme les yeux je te vois en train de jouir, je me prépare au doux frissons,  j'accentue mes caresses et monte en moi un immense plaisir ,hooooooooooooooooo... je crie, les sons se répercutent contre les murs pour remplir la pièce ou je suis seule. je suis en nage je me laisse retomber avec ce sourire de satisfaction.

je ne peux cesser complètement cette activité , tant mon sexe palpite encore des caresses qu'il vient de recevoir..... hummmmmm

je sens déjà remonté en moi cette vague de chaleur qui reviens prête à revenir encore plus forte..... alors repart le ballet de douceur .....hummmmm j'adore....

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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Jeudi 21 juin 4 21 /06 /Juin 14:03

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Pour l’été je suis invité par une amie à venir passer quelques jours chez elle et je passe de bons moments en sa compagnie….

Nous reparlons de notre jeunesse, nos échanges sont riches de souvenirs en communs.

Je suis enchantée de faire connaissance avec sa famille, revoir ceux que j'ai croisés dans mon enfance, tout ceux qui ont marqués une partie de ma vie.

Ce soir elle reçoit des amis pour un grand barbecue, beaucoup de travail nous attends, ensemble ainsi

Tous sont impatients de commencer la fête, un proche voisin vient installer la sono, un autre apporte des chaises et tout se passe dans la joie et la bonne humeur.

Avec quelques personnes de bonne volonté nous préparons cette fête destinée à la pendaison de la crémaillère…. tout le monde s'active en vue des festivités, et très vite arrive l'heure tant attendue.

J’aide mon amie pour accueillir les invités, les aider à se débarrasser de leurs effets personnels et à se mettre à l'aise.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver un homme accompagné de sa femme et de ses enfants !

Cet homme n'est autre que mon contact sur Internet, on ne s"est jamais vu autrement que devant nos écrans.

Évidemment il n'est autre que mon amant virtuel et le voilà devant moi en chair et en os, je lis dans son regard la surprise et aussi une légère inquiétude étant avec sa famille; il doit penser que son monde va s'écrouler, là.

Mais discrètement, je lui fais signe que tout va bien, qu'il n'a pas à s'inquiéter, je sais prendre des responsabilités dans des moments critiques.

Pourtant en moi brûle le désir énorme de le serrer contre moi , de le sentir, d‘approcher mes lèvres des siennes et de me fondre dans un baiser plein de promesses…..

J'espère que sa femme se retirera au moins le moment de coucher les enfants en priant qu’ils aiment qu’on leur raconte une petite histoire avant de dormir ,avec cette pensée, je garde  l'espoir de pouvoir le toucher, l'approcher…..

D’un seul coup, un énorme doute grandi en moi, suis-je à son goût, je ne suis plus une image mais une personne bien réelle faite de chair et de sang, son regard ne m’a pas paru fuyant c’est déjà une bonne chose.

Tous les invités sont arrivés, de là se forme des petits groupes unis par affinités, ages, goûts, de partout fuse des rires, on peut attraper au passage une bribe de discutions et se mêler à un groupe pour partager nos opinions, ou s’esclaffer d’une histoire drôle.

Et moi, j’aide mon hôte en passant parmi les invites avec  tantôt des plateaux d'amuse gueules, tantôt un plateau garni de verre rempli de divers cocktails et boissons alcoolisées ou non.

Et voilà le moment ou je passe près de toi..

Tu es en grande conversation avec Patrick, le mari de mon amie, et ta femme est un peu plus loin avec tes enfants.

Je me poste devant toi avec mon plateau, et Patrick fait les présentations, Laurent je te présente «  Marie »   une amie de Françoise et Marie, «  Laurent » un ami d’enfance.

Je tends la main, tu la prends et m’attire vers toi pour m’embrasser délicatement sur la joue, à cet instant je sens monter en moi le désir de t’embrasser d‘un baiser fougueux, de te prendre la bouche et de te savourer avec délectation.

Je suis toute retournée, je sens ta main qui tient la mienne, je perçois ton désir, je suis rassurer, tu es tout comme moi désireux d’aller encore plus loin, bien que je n’aie plus grand chose à apprendre, sinon que le contact est merveilleux et ce parfum, hummmm

Je m’en imprègne à fond, je voudrais que le monde autour de nous s’efface, disparaisse, qu’il n’y est plus que nous deux.
Mais vite il me faut reprendre pied Patrick ne dois rien soupçonner tant pour toi que pour moi

Tu te tournes instinctivement vers ta femme qui est en grande conversation et elle te fait un signe pour te dire que tout va bien.

Nous allons bientôt passer à table, je choisis de m’installer en face de toi, mais je me rétracte.

Vraiment ce n’est pas sérieux être si près, prendre le risque de se faire remarquer, d‘éveiller des soupçons.

Donc je m’éloigne à regret, mais avec quand même un regard qui se pose sur toi, ce corps je le connais par cœur sans l’avoir touché, tes mains l’on tellement parcouru pour moi…hummmmmmmmmm ce souvenir a pour effet de réveiller le démon de la luxure.

Le repas se passe dans la bonne humeur, un buffet permet à chacun de se déplacer donc de se croiser, d’échanger quelques paroles entre convives, à plusieurs reprises je me trouve près de toi et je vibre quand tu es proche, ta main me frôle à plusieurs reprises, je suis tendue mais je te veux, je te désire plus que tout en ce moment, je sens en moi ce désordre qui me bouscule et me fait chavirer…

Un des voisins met la musique et les invités vont sur la piste de danse improvisée sur la terrasse de la maison, tout le monde se trémousse et s’amuse nous échangeons nos partenaires..

Je voudrais déjà être arrivée à toi, me serrer contre toi, te sentir.

Ce moment arrive enfin tu me tends la main et sans hésitation je la prends, tu me rapproches de toi et pose tes mains sur ma taille et moi je les pose sur tes épaules.

Je meure d’envie de te sauter au cou, je dois me contenir, c’est très difficile, tu me glisses à l’oreille un « je t’aime » j’ai « envie de toi » et je ne puis répondre que par « moi aussi je te veux.

La soirée continue dans la bonne humeur et les invités commence à partir les uns après les autres, je te vois, te préparer avec ta femme et tes enfants, le moment de se quitter est proche, mon cœur se serre, mais que faire, que dire.

J’ai envie de crier de te retenir, je sais que tu ne vas pas être loin, tu es dans un chalet a quelques centaines de mètres réserver pour cette occasion. Mais je suis triste et le moral en prend un coup.

Je vais rejoindre les autres, ensemble nous commençons à remettre de l’ordre, pour que toutes et tous nous puissions aller dormir dans de bonnes conditions.

Quelle surprise de te voir revenir seul, après une vingtaine de minutes, tu viens vers moi et me dit, « j’ai dit à ma femme que je venais donner un coup de main » et me voilà.

J’en suis tout émue, toute confuse, il ne reste plus personne pour ainsi dire, quand mon hôte vient vers nous et nous remercie pour notre aide, je suis contente de pouvoir me rendre utile et de te savoir avec moi c’est merveilleux.

Après un long moment, nous nous assoyons sur le canapé du salon, toute la maisonnée est calme et tout le monde est endormi, nous sommes seuls.

Le chat de la maison vient sur tes genoux et tout naturellement je tends ma main pour le caresser, dans cet élan nos mains se touchent, je savoure ce contact, je vais plus loin….

Je pose ma main sur ta cuisse, tu ne bouges pas seul ton regard plonge dans le mien.

Je continue mes attouchements, le chat toujours sur tes genoux ronronne de plaisir

Et dans tes yeux je lis le désir de passer du virtuel au réel, à mon tour je me fais chatte, je m’approche, viens poser ma tête sur ton épaule, que j’ai souvent désiré pour moi seule

J’ai l’impression de vivre un rêve, depuis tout ce temps je ne t’ai touché qu ‘en posant mes doigts sur mon écran, attrapé tes baisers et ressenti tes caresses par le biais d’une machine.

Entendre les mots plutôt que les écrire hummmmm

Nous sommes fous, rien n’est plus doux qu’être là en cet instant, je te veux la sans préambules

Vite, je veux ton corps contre le mien, sentir que tu m’écrases, le fait d’être avec toi augmente mon plaisir, à cette idée je suis toute mouillée; je sens cette humidité, cette tiédeur qui fuse entre mes cuisses, nous nous enlaçons un baiser fougueux qui n’en fini pas, cela dérange le chat qui quitte tes genoux, là je vois à quel point tu es tendu toi aussi. Nous n’avons même pas besoin de nous parler, nous nous connaissons, dans tous nos désirs, dans tous nos plaisirs, tes caresses trouvent tout de suite l’endroit comme si un aimant les avaient attirés, tu sais ce que j’aime au même titre que je sais ce qui te fait jouir

Mais j’ai du mal à me détendre car je suis dans le salon de mon amie et elle peut arriver à n’importe quel moment. Tu me dis « chut suis-moi » et nous voilà dans le jardin, où tu as déjà repéré un endroit tout à fait convenable et as l’abri des regards, je réalise vraiment a cet instant ou tu me prends la main que je suis avec toi, que tu es là ce n’est pas un rêve.

Tu as remarqué un garage ou es stationné un espace et un cabriolet, et je crois que je vais étrenner l’espace avec toi, dans la plus grande intimité.

Tu t’actives à préparer ce petit nid d’amour, je te regarde et je me dis que bien des fois j’ai imaginé notre rencontre, mais jamais celle de me retrouver dans la voiture d’une amie pour y vivre cette idylle. Je monte dans l’espace et m’allonge près de toi, tes lèvres me cherchent et les miennes aussi, dans un baiser sans fin je m’abandonne dans tes bras. Ta langue me goûte et la mienne te savoure, des sons gutturaux sorte de nos gorges, nos gestes son désordonnés

Et il nous faut faire un effort surhumain pour reprendre le contrôle de soi, tant notre désir est énorme.

Tu me serres très, très fort dans tes bras comme pour te persuader que tu es bien là avec moi, comme de se pincer pour savoir si l’on rêve.

Je me laisse imprégner de ton parfum et tu commence à caresser mon corps avec une infinie douceur, tes mains glissent dans mon dos, sous mon chemisier et viens d’un geste expert dégrafer mon soutien gorge.

Les miennes te déshabillent, te caressent, te découvrent, nous sommes prêts tous les deux à commettre cet acte tant désiré, tant espéré. Je me pose la question de savoir à quelle sauce je vais être dégustée. Je ne peux résister à te mordre tendrement dans le cou, tes doigts vont directement se poser sur ma toison qui est taillée en petit triangle et tu les passes travers mes petites bouclettes, ça me donne des frissons partout ; ce qui ne fait qu'augmenter mon excitation, tu sens bon, tu sens l’homme. Tes doigts jouent avec mes lèvres, mon clitoris... je dégouline et je gémis.

L'excitation est à son comble, en me fouillant si bien, j'en ai les jambes qui tremblent.

Tes doigts sont très habiles, je sens mon plaisir monter. Je veux à mon tour te goûter ; je m’écarte légèrement de toi et ma bouche vient se poser sur ton sexe que je tiens entre mes doigts et que je fais aller et venir, je te sens gonfler, durcir, ton gland est tout luisant de plaisir, j’y vois une perle d’envie qui pointe et viennent se poser sur ma langue, hummm

Je resserre mes lèvres autour de ton sexe et tu donne de légers coups de reins, l’excitation montant, tu deviens de plus en plus rapide.

Tu t’enfonces profondément dans ma gorge, je te suce avec ardeur, mes yeux se plongent dans les tiens, ce regard est identique à celui que j’imaginais plein de tendresse et de bonheur à la fois. Par quelques succions délicates je ralentis le mouvement, tu veux à ton tour goûter à mes chairs, poser ta bouche sur mon sexe ou perle déjà le fruit de mon plaisir.

Tu me fais profiter de ta langue avec beaucoup t'intensité. Je prends ta tête entre mes mains pour mieux te presser sur ma vulve humide.

Essayant de t’enfoncer le plus loin possible, je prends un plaisir incroyable. Il te suffit de remonter et de lécher mon clitoris quelques secondes pour me faire jouir une première fois. hummmmmmmmmm Laurent comme c’est bon. Tu me prends la tête et m’embrasse tendrement, joignant ta langue à la mienne, et le grand jeu recommence. Nous, nous caressons, je ne veux pas perdre une seconde j’ai trop attendu ce moment de me retrouver seule avec toi.

Je m’allonge dos au sol et tu viens près de moi, ton sexe est toujours très tendu et je veux le sentir glisser en moi je te veux, là tout de suite. Sans pudeur je soulève mes jambes et te laisse entrevoir mon sexe débordant de d’un nectar sucré, tu te positionnes au-dessus de moi et je tends mon ventre vers toi pour, viens enfonce ta verge dans ma petite fente chaude, hummmmmmmmmmmm encore viens.

Tu me pénètre et tu fais des mouvements de vas et viens hummmm c’est bon, ne t’arrêtes pas continue j’adore ça ho oui Laurent continu haaaaaaaa je jouie.

Je te tiens par les épaules, m’accroche à toi, je rêve, ce n’est pas possible c’est trop bon.

Pendant les secondes qui suivent, nous nous laissons aller à notre jouissance jusqu'à ce que ni l'un ni l'autre ne puissions dire quoi que ce soit.

Tu viens te répandre en moi, je sens gicler ta sève qui me remplit le ventre d’une chaleur torride, Tu es comblé, tu es épuisé, mais ce n’est pas fini, un petit moment de repos s’impose, je suis en nage et toi aussi. Tu reste comme ça sur moi, nous fermons les yeux, sans rien dire, ta main caresse mes cheveux j’aime sentir ton contact, ce n’est pas une illusion, je te sens vraiment.

Après un long moment de détente je sens monté en moi un besoin énorme de te sentir encore et encore, je veux jouir toute la nuit dans tes bras.

Je m'approche encore un peu plus et je pose un doigt sur tes lèvres. Je vois tes yeux pétiller de plaisir. Tes mains caressent mes seins. Ta langue enroule mes petits morceaux de chair érectile. Le rythme de ta respiration s’accélère. Tu me caresses le ventre. Ma main atteint ton sexe tendu et humide par l’excitation. L’odeur douce de ton sexe pénètre mes narines. Je caresse avec beaucoup de douceur tes testicules. De l’autre, j’empoigne ton pénis et le porte à ma bouche. Alors tu ressens la douceur exquise de mes lèvres se refermer sur ton gland, je te suce comme une affamée, je veux sentir dans le fond de ma gorge ce nectar qui vient du plus profond de toi et toi tu es occupé avec ma petite fente des gémissements viennent

Naturellement emplir l’habitacle de la voiture. Tu concentres ton activité buccale sur ma zone clitoridienne. Je jouis en retenant un long cri de plaisir.

Et tu jouis au fond de ma gorge, je sens glisser ta sève brûlante je souris, je suis bien j’en veux encore, je ne veux pas que ça s’arrête, mais tu dois repartir, et je dois te laisser, mais je n’en ai pas envie, je veux te garder, reste........ hoooo

Angedesnues

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Mardi 19 juin 2 19 /06 /Juin 21:55

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Mardi 19 juin 2 19 /06 /Juin 21:53

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Mardi 19 juin 2 19 /06 /Juin 21:50

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Lundi 18 juin 1 18 /06 /Juin 13:05

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Vendredi 15 juin 5 15 /06 /Juin 13:45

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Il fait chaud en cet après- midi de juillet, je suis fatiguée par cette chaleur qui sévit depuis plusieurs jours.
J’attends, deux de mes amis doivent passer me prendre, pour faire une sortie en bord de mer, du coté de Trouville sur la côte normande près de Deauville
Et j’avoue qu’avec cette canicule, j’ai hâte d’y être.
Le départ est prévu pour 17 heures, nous y allons pour savourer le coucher de soleil avant tout, profiter d’être ensemble et qui sait peut être finir la soirée au casino.
En attendant, je m’allonge sur mon lit, je me mets à l’aise, J’ai beaucoup trop chaud.
J’ai laissé les fenêtres ouvertes pour avoir un semblant de courrant d’air.
Mais rien à faire la chaleur est insoutenable, j’ai du mal à me détendre, j’opte pour une douche fraîche, ainsi je pourrais patienter dans les meilleures conditions.
Je m’installe sous la poire de douche, l’eau dégouline sur moi, hum !!!!!!
Je prends du gel douche dans le creux de mes mains et m’en badigeonne tout le corps, mes mains passent sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses et s’attardent entre mes jambes, hum je ne résiste pas, je me caresse, mes doigts montent en moi et m’arrachent des soupirs d’aise mmmm ! Que c’est bon !
Après, plusieurs minutes, passées dans cette atmosphère de câlins.
Je quitte ma salle de bain, et je m’allonge sur mon lit à peine séchée et je continue mes attouchements, pour me faire dormir.
Mes mains visitent chaque partie de mon corps, je me trémousse, relève mes jambes en repliant mes genoux, j’écarte mes cuisses et mains viennent se poser sur ma toison douce et frisée,
De mes petites lèvres s’échappe un miel au goût sauvage, mes doigts glissent en moi sans aucune résistance, ma respiration est haletante et des hummmmmmmmmmmm de plaisir fusent entre mes lèvres.
Le son de ma propre voix empli la pièce et couvre les bruits extérieurs.
Je n’ai pas entendu la voiture de mes amis arriver, ni entendu ceux ci entrer dans la maison.
Ils sont attirés par mes gémissements, et s’arrangent pour que je ne soupçonne pas leur présence, ils ont plus deux heures d’avance, et moi je n’imagine même pas un seul instant qu’ils aient décidé de venir plutôt, pour boire un verre en ma compagnie.
Je suis dans mon monde de délices, ma langue passant sur mes lèvres, les jambes écartées
Je m’adonne au plaisir, sous la pression de mes mains mes fesses se soulèvent, les pointes de mes seins durcissent, mes jambes se rabattent sur mes mains pour les enfermer sur mon sexe qui regorge de chaleur, et les lèvres mouillées de désir, je ne pense qu’à mon plaisir.
Vous êtes tous les deux à l’entrée de ma chambre à observer mon excitation, votre sexe est en érection, mon érotisme, mes caresses vous troublent.
J’éveille en vous un appétit qui grandit de plus en plus, mon corps suinte d’envie.
Vous, vous échangez un regard qui en dit long sur vos intentions, alors que je suis la tête enfoncée dans mon oreiller, la bouche entrouverte, ma langue passant sur mes lèvres, imaginant un homme nu devant moi son sexe entre les mains, prêt à être avaler.
Sans faire de bruit vous pénétrez dans la chambre, je suis tellement partie de ce manège de douceur que rien ne laisse filtrer aucun son extérieur, le ciel pourrais bien se déchirer en deux, Je ne suis plus là.........
Par ce temps vous portez un minimum de vêtements, short et tee- shirt les températures avoisinent les 30° a l’ombre.
Je suis dans une extase de bonheur, je sens un léger souffle près de moi, j’ouvre les yeux, vous êtes là.
Votre regard est posé sur moi, vos yeux sourient, par cette chaleur votre peau est luisante comme si vous sortiez de la douche.
Vous, vous regardez, un sourire sur vos lèvres ne laisse aucune illusions sur vos résolutions.
Allons, pas d'excitation!  Soyez sages, mais je comprends vite que cela ne suffira pas pour vous calmer...
J’attrape le drap qui est près de moi pour me couvrir, mais la main de Lou retiens mon geste,
Son regard semble dire « ne sois pas fâchée, pardonne, nous.
Sa bouche vient se poser sur la mienne et un baiser brûlant tourne autour de ma langue.
J’ai peur qu'ils ne recherchent autre chose que leur seul plaisir, aussi je prends avec sagesse, la résolution d'entrer dans leur jeu.
J’ai décidé de ne pas me débattre, mais je ne veux pas participer et me dis qu’en me laissant faire, ils viendront rapidement au terme de leurs pulsions sexuelles.
Lou prend ma main et la dirige vers son corps et  la pose à plat sur son torse en passant sous son tee shirt, sa peau est chaude et moite par cette chaleur,
Malgré mon désir de rester indifférente à leurs caresses, A ce contact un nouveau plaisir monte en moi. Je sens rapidement des frissons me parcourir.
Je me sens prise au piège comme une victime qui désire de ses assaillants de la délicatesse, de la douceur. Je suis entourée des nymphes de la luxure
Il m’est souvent arrivé de pensé à toi près de moi, t’imaginer avec moi dans des situations particulières, mais de là,  à concrétiser cet instant.
Je lance ma main à la recherche de ton sexe et la pose sur ton short dont le tissu est dressé comme une toile de tente et ne laisse aucun doute de ton état.
Je commence à te caresser à travers le tissu qui est déjà mouillé par l’envie qui monte en toi.
Pierre, me regarde avec ce regard enjôleur, et je vois dans ses yeux en même temps une étincelle de complicité qui brille du désir inéluctable de partager mes caresses.
Je me redresse et tends mon autre main vers lui, il est aussi tendu que toi et son short aussi est humidifié par son désir de faire l’amour.
Je suis assise sur le bord du lit, vous êtes en face de moi, mes yeux son à hauteur de vos sexes, tendu dans vos vêtements qui ne demande qu’à être libérés.
Je commence par toi « Lou ». Je me lève et te fais asseoir sur le lit, avec des gestes sensuels je t’enlève ton tee shirt, tu lèves tes bras et doucement je tire le tissu vers le haut et  au fur et a mesure que ton corps se dénude, je pose mes lèvres et goutte à ta peau, ton vêtement passe au-dessus de ta tête et je te découvre à demi-nu.
Pierre ne perd pas une seconde, il profite de ce que je sois occupée avec toi pour passer derrière moi et s’agenouille, il glisse une main entre mes jambes et de la paume de sa main entame une caresse tout en posant un baiser sur mes fesses. hummmm  quel délice.
Il se relève et se plaque sur moi.
Je sens son sexe tendu sur mes fesses et ses mains prennent possession de mes seins dont il fait rouler les bouts entre son pouce et son index alors que je pose mes lèvres sur ton torse et passe ma langue sur ta peau.
Je pousse légèrement ton corps en arrière pour que tu t’allonges sur le lit.
Mes lèvres continues leur descente et viennent se poser sur le tissu tendu de ton short, elle se délecte de ce parfum qui en émane .
Pierre toujours plaquer contre moi suit mes mouvements comme s’il était soudé à moi….


Tu soulèves légèrement tes fesses et je fais glisser le long de tes cuisses ton short et ton caleçon en même temps, ton sexe qui se dresse devant moi est fier comme un paon,  il est énorme, gonflé par le désir.
Je tombe à genoux devant toi je le prends par le bas, le caresse, puis remonte jusqu'au gland que je titille avec mes doigts, je ressens du plaisir à te tenir dans ma main.Je te masturbe doucement en laissant apparaître ton prépuce tout luisant de désir, tu poses tes mains sur ma tête et me caresse les cheveux.
Je vois sur le bord de ton gland tout violacé une perle de ton jus d’amour et je pose ma langue pour en recueillir le nectar d’où se dégage un parfum envoûtant, je te prends dans ma bouche. Je t’entends gémir de plaisir sous mes caresses mouillées, ma langue tourne autour de ton sexe et je le fais aller et venir sur ma langue, le suçant avec passion. Le désir est à son comble, et comme un enfant assoiffé au moment de la tétée, je suce ce membre d’une taille démesurée,  ta tête par en arrière et je suis bouleversée de voir ce rictus de satisfaction se dessiner sur ses lèvres que ta langue caresse, je t’aspire avec une frénésie hors du commun.
Pierre quand à lui profite de la situation, toujours dans la même position, mais une chose pourtant à changer, je sens contre mes fesses son sexe mis à nu, je n’ai pas réalisé qu’il s’était dévêtu, trop absorbé par le plaisir que je partage avec Lou.
Il passe un bras sous mon ventre et m’attire contre lui, je cambre mes reins pour lui offrir mon sexe qui ruisselle de plaisir, du désir d’être possédé. Son membre dur tendu et se pose à l’entré de ma grotte toute luisante. Son gland  me pénètre en une lente progression, des ondes me parcourent lentement, une chaleur intense m’envahi alors que son sexe continue dans un va et vient incessant, il ondule en moi dans un rythme grandissant.
Il me comble de toute sa grandeur, ce n'est que jouissance, des frissons  partent de mon ventre pour irradier tout mon corps de la tête aux pieds.
Ses mains me caressent les seins et le ventre, viennent se poser sur mon clitoris qu’il masse dans un mouvement circulaire et qui a pour effet de pousser mes fesses contre son sexe et accompagner sa cadence infernale.
Soudain je sens dans mon ventre son sexe se raidir et s'immobiliser au plus profond de moi, il se gonfle d'un coup et se libère avec force.
Je ressens comme jamais encore je n’ai senti cette semence jaillir en moi en puissantes giclées, remonter dans mon ventre et investir mon corps.
Lou doit ressentir mes tressaillements car, sans bouger, il jouit lui aussi en chaudes giclées qui inondent ma bouche.
J’aime particulièrement le moment où l'homme ne maîtrise plus son sexe qui se gonfle de désir se répands en puissantes giclées. Oui j’aime le moment où la liqueur parfumée de l’homme envahit ma bouche, et glisse, toute chaude, sur ma langue.
Nous sommes épuisés et, nous, nous allongeons sur le lit, je suis entre vous et vous me couvrez de baisers avec une tendresse infinie. Vos mains continues leurs caresses tendres et langoureuses ce qui a pour effet de raviver le feu à peine éteint qui brûlait en moi. Je viens poser ma tête sur le ventre de Pierre, elle se soulève à la cadence de sa respiration qui a repris
Un rythme presque normal, je me trouve face à son sexe qui est tout cotonneux et doux, sans vigueur comme endormi et reposant sur le haut de sa cuisse, qui semble lui servir d’oreiller.
Je ne résiste pas au désir de poser ma main entre ses jambes et remonter pour presser entre mes doigts ses testicules que je masse et soupèse avec douceur.
Ce qui a pour résultat de faire sursauter par petit coup ton sexe endormi, il se gonfle et s’allonge à un rythme régulier comme s’il battait la mesure sur une musique diriger par un grand orchestre dont je serais le maestro.
Lou derrière moi me caresse le dos avec des gestes lents et savoureux, il passe sur une zone très sensible qui se trouve juste au creux de mes reins.
Toutes caresses passant par-là, occasionne des réactions des plus sensuelle, et me font perdre tous mes moyens. Je pars dans un univers de douceurs et de voluptés hummmmmmmmmm !!
Oui !!!!  Encore !!!! Ne t’arrête pas……. Continue !! J’ai le sentiment d’être une perle entre les mains d’un orfèvre, une plume entre celle d’un écrivain. hoooooooooo  ouiiiiiiiiiiiii !!
Je m’ouvre comme une fleur, ce qui ravive tes sens et tes mains continues leur voyage et viennent se poser sur mon jardin d’Eden, où se trouve le fruit défendu que tu es près à déguster.
Pierre se joint à Lou pour me prodiguer lui aussi des caresses qui me transporte au-delà de mes rêves. Le désir est immense, je prends Pierre entre mes lèvres, je le pose sur ma langue son sexe est plus long et plus fin que celui de Lou qui m'a laissé une sensation agréable dans la bouche, ta tête s'enfonce dans l'oreiller et tes yeux me supplient de ne pas arrêter, je suis toute retournée par ce regard.
Lou qui se trouve près de moi, viens poser sa tête entre mes cuisses, hummmm. Il entame un effleurement de mon clitoris avec la pointe de sa
langue, et pousse un de ses doigts dans mon antre assez humide pour satisfaire les plus assoiffés…je me tortille de satisfaction.
Je ne sais ce qu’il va advenir de cet instant mais c’est comme un aphrodisiaque puissant, qui a déjà le pouvoir de me dévorer de l’intérieur. Je soulève mon ventre pour aller à la rencontre de sa bouche.
Une vague de plaisir et de désir s’entrechoquent au creux de mon ventre.
Mes jambes viennent se resserrer autour de sa tête et une autre vague de bonheur m’envahie.
Mon bas ventre ondule sous les caresses de sa langue et je sens que je vais jouir,
Je me tends comme un arc lorsque la jouissance déferle en moi.
Sous l’effet de cet orgasme, j’ai un hoquet de plaisir, étouffé par le sexe qui fouille ma bouche, je me laisse totalement aller aux assauts de mes amants.hummmmmmmmmmmmmm

Lou qui tout gonflé de désir s'est déjà installé entre mes cuisses et a posé son sexe sur mon clitoris qu'il caresse de son gland. Il le fait aller et venir sur ma vulve qui veut le happer, puis il vient en moi et, poussant son bassin en avant, il entre profondément dans mon jardin. Je l'accueille avec bonheur, allant le plus loin possible, doucement, puis dans un rythme de plus en plus endiablé, il accélère pour arriver de nouveau à la jouissance.
Je le sens prêt à exploser dans mon ventre, et je me soulève à chaque coup donné
Pour, qu’il puisse être délivré ! Sentir au creux de mon ventre cette semence douce et chaude, se rependre en moi.
Pierre, est de plus en plus agiter mes gémissements et ceux de Lou l’amène dans un cri de soulagement à se répandre sur ma langue, je sens ma bouche se tapisser de ce nectar mes joues mon palais ma langue goûte ce miel.
Lou a son tour se déverse au plus profond de moi et je sens venir un orgasme comme jamais je n’en avais ressentit.
Tout mon corps se raidi et tremble comme une feuille, tant le plaisir qui le traverse, est énorme, je me laisse retomber sur le lit avec vos corps encore sur le mien.
Une fatigue sans pareil s’empare de nous, un voile douceur, nous enveloppe, le silence retombe dans la pièce et, nous, nous endormons les uns contre les autres, satisfaits, heureux.

Angedesnues

Par Angedesnues - Publié dans : histoire coquine
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