Le blog de Angedesnues
Vendredi soir, mon travail m’amène dans l’entreprise vide de tout ses occupants. Ce que j’aime particulièrement dans cet emploi, c’est une liberté d’agir, personne derrière pour me dicter ma conduite ou pour me surveiller.
Je pousse la porte, entre dans le hall d’accueil et me dirige vers mon local.
Je me déshabille, enfile ma blouse, je prends mon matériel et mets mon walk man sur mes oreilles… il ne me quitte jamais dans mon travail en solitaire.
Je suis seule avec ma musique, je remonte le couloir tirant mon aspirateur qui me suit comme un petit chien. Là dernière porte a gauche ouvre sur le bureau d’étude.
La musique dans les oreilles, j’entre, fais les taches qui me sont allouées, nettoyage des bureaux, des sols et vider les corbeilles. Une fois
terminée, je passe à l'international, autre pièce renfermant huit bureaux que je commence à nettoyer. Je suis penchée sur un des bureaux mon chiffon à la main, je fais mon travaille en cadence,
bercée par le rythme du zouk qui passe entre mes oreilles, et je chante seule dans ses bâtiments.
Je n'entends pas les bruits qui m'entourent, tu arrives derrière moi, tu es attiré par le son de cette voix qui résonne entre les murs.
Pour moi il ne reste personne dans l'entreprise, comme presque tous les jours, sauf que ce jour, tu es là pour terminer un travail qui doit être impérativement fini pour demain. De plus tu
n'as jamais vu de personnel de nettoyage.
Tu es taquin et curieux de nature, la première vision que tu as de moi est de dos tu te tiens à moins d 'un mètre, tu me regardes, je suis penché sur le bureau pour atteindre l'écran de
l'ordinateur que je frotte pour effacer les traces de doigts qui y sont accrochés.
Tu ne peux t'empêcher de me pincer la taille pour me faire savoir que je ne suis pas seule, au contact de ta main je sursaute, cris et par frayeur je me retourne d'un coup comme un brochet pris
au piège et ma main vole dans les airs, une gifle vient te frapper au visage, Le choc que je viens de subir m’anéantie, je tombe sur le sol, fermée et prostrée mon cœur bat la chamade et me fait
mal, je suis terrifiée par mon geste, j’ai honte d’avoir eu un tel réflexe.
Tu viens poser ta main sur moi pour me rassurer et quand je lève les yeux, tu te frottes la joue, me regarde d'un air désolé et aussi amusé, tu ne sais pas si tu dois t'excuser ou éclater de
rire, je suis rouge de honte et de colère.
Alors viens les excuses, tu m'expliques que tu n'avais pas remarqué que j'étais sous mon casque, tu es désolé d'avoir agi de la sorte.
Tu m'invites dans ton bureau pour boire une boisson forte pour me remettre de mes émotions.
Je ne sais quoi faire, le personnel d'entretient ne doit pas parler avec celui de l'entreprise.
Mais tu m'encourages en faisant remarquer que nous sommes seuls, que mon travail ne va pas souffrir de quelques minutes d'absence.
Effectivement vu comme ça.....
je te suis dans ton bureau pour boire un verre à cet instant ce n'est pas de refus. J’ai besoin de quelque chose de bon et de fort.
Quand j'entre , je suis gênée, car en général je suis seule et de te voir dans les lieux en même temps que moi me trouble. Savoir que tu es le propriétaire de cet endroit me fait sourire, car je
m'étais fait une autre idée du personnage plus petit, chauve, précieux et même voir plus féminin que masculin.
Mais là, cet homme qui se tient devant moi est de taille normale, grisonnant, pas trop musclé mais attendrissant.
Ces gestes sont délicats, j'imagine ses mains caressant mon corps, ho non !!!! Je m'égare restons sur terre..
Tu me proposes de m'asseoir, tu me souris, je commence à me détendre mon cœur reprend son rythme normal, mes mains ont cessé de trembler.
Mais là en face de toi, je ne me sens pas a ma place cette impression que j'ai d'être propriétaire des lieux, quand tous sont absents, a disparu
Il m'est souvent arrivé de m'installer sur ce fauteuil ou tu es en ce moment, pour me reposer quelques minutes.
Tu sers deux verres, me tends le mien, je te regarde dans les yeux et te remercie d'un signe de tête.
Je me fonds dans ton regard, il est doux avec une pointe de filouterie... je suis sous le charme de tant de délicatesse envers moi.
Tu me questionnes sur tout, mon age" que je garde pour moi" ma situation de famille, mes goûts, mes plaisirs, mes loisirs.
Le temps passe... j'apprends que tu es un homme très occupé, que tu es directeur commercial ce qui m'intimide un peu.
Je bois cette liqueur en ta compagnie, je regarde ma montre il me faut y aller j'ai déjà pas mal de retard.
Je m'excuse, je dois retourner à mes taches et toi continuer ton travail.
Tu me souhaites bon courage, je quitte ton bureau avec un sourire qui ne s'efface plus.
Je reprends mes activités et je me dépêche pour pouvoir finir dans les temps. Ceci dit, je suis bête, jamais personne ne vient vérifier si je suis là et si je fais mon travail. Je suis sure que
je pourrais dormir la sans que personne ne le soupçonne.
Je passe par tous mes bureaux et termine en passant l'aspirateur.
Il ne me reste que ton bureau à faire, je frappe à ta porte tu m’invites à entrer , je suis là, mais cette fois… je travaille.
Je me hisse sur la pointe des pieds pour passer le chiffon sur le dessus de ton meuble classeur. Mes bras en l'air font remonter ma blouse et mes cuisses sont à demi découvert, il me faut un
certain temps pour sentir ton regard se poser sur moi, je baisse mes bras et je me retourne pour essayer de lire dans tes pensées. Je rougis en voyant dans tes yeux quelque de changé, un petit
quelque chose de coquin. Je m'imprègne de ton image que jusque la j'avais survolé.
Tes yeux son marron, tes cheveux presque blancs, tu dois avoir quelques années de plus que moi, mais tu es charmant.
Je me retourne, reprend la même position, je relève les bras, je sais que ton regard se pose sur moi, je joue de mes charmes, je te provoque en pensant.
Je vais partir, quitter le bureau en te laissant l'image de mes fesses qui s'agitent sous le voile de ma blouse". Je viens près de toi pour vider ta corbeille, tu profites de cet instant pour poser tes mains sur moi, je me redresse prête à échapper à cette étreinte mais tu me retiens, je veux manifester mon désaccord, mais une de tes mains viens se poser sur ma bouche tu m’attire vers toi et j’entends dans le creux de mon oreille « chuttttttt viens laisse toi faire »tout dans ma tête se bouscule.
Je sais que je suis responsable de cette situation, quand on joue avec le feu on se brûle.
Mais je me défends, pour sentir cette pression se resserrer un peu plus sur moi. Sentir que tu me désires, que l'instinct sauvage de l'animal qui est en toi ne veut perdre sa proie.
Tu finis par desserrer ton étreinte, je me sens libre à nouveau de respirer, de bouger, de parler mais je me tais.
Je laisse tes mains parcourir mes formes, chacun de tes gestes me font réagir, hummmmm .
Je sens une humidité qui fuse entre mes cuisses, je soupçonne que cet état est né depuis déjà un long moment.
Je me laisse emportée, je savoure, j’oublie ou je me trouve et me laisse emportée
Par ce ballet de caresses, cette chorégraphie née de ton désir.
Ta main passe sous ma blouse et vient directement au contact de mon ventre, et remonte vers ma poitrine.
Ton autre main prend le temps de déboutonner ma blouse, laissant apparaître mon ventre nu.
Je me retrouve très vite assise sur tes genoux en sous-vêtements, simple blanc sans fioritures, je me mets face à toi, tes mains viennent dégrafer mon soutient- gorge et tu libères mes seins lourds.
Ta bouche prend mon sein que tu viens de libérer de son carcan et tu en titilles l’extrémité avec le bout de tes dents, tu le fais rouler sous ta langue, je rejette ma tête en arrière et je t’offre mon corps, de ma bouche fuse des HUMMMMM….HAAAAAA….HOOOOOOO……..
Mes jambes qui se trouvent de chaque coté des tiennes me force à appuyer mon pubis conte ton bas ventre et je sens contre mon sexe le tien tout dur a travers ton pantalon, ma petite culotte est de plus en plus humide. HUMMMMM que c’est BONNNNNN…….
Continues, touches-moi, ne parles pas, envole-moi.
Tes caresses sont précises, excitantes, je me laisse aller au plaisir.
Je respire de plus en plus fort et de plus en plus vite, je n’y tien plus, je m’arrache à toi, à tes attouchements.
Il me faut toucher ta peau, sentir sous mes doigts cette vibration, ces muscles qui bougent dans ton corps, te caresser, te manger.
Je desserre ta cravate, déboutonne ta chemise, et mes lèvres viennent se poser sur ton torse nu, en même temps, je desserre ta ceinture et ouvre ton pantalon.
Tu te soulève pour m’aider à le retirer et ma bouche descend vers ton ventre, puis vient se poser sur le tissu tendu de ton boxer, il est déjà tout mouillé comme le mien.
Le goût de ton envie a traversé le tissu, se pose sur ma bouche, je passe ma langue sur mes lèvres et savoure ton plaisir, tu me regardes dans les yeux et tes lèvres viennent se poser sur les miennes, nos goûts se mélangent, HUMMMMMMM.
Ma petite culotte vient de tombée au sol, ma main se glisse sous l’élastique de ton boxer et te libère.
je prends entre mes mains, ton sexe tendu par tant de désir, mes lèvres s'entrouvrent et viennent se poser sur le bout de ton gland ou perle une goutte de ton envie
Ma langue vient recueillir ce nectar venu du fin fond de ton être et je le savoure, ta main me caresse les cheveux les miennes te caressent entre les cuisses.
Tu t'avances sur le bord de ton fauteuil pour que je puisse mieux te saisir, un de mes doigts vient en contact de ton petit anneau que je caresse délicatement
Il est fermé et tendu, je mets ce même doigt dans ma grotte toute humide de ma liqueur d'amour. Puis, je reviens à ton petit cercle fermé, je pousse à peine que ma première phalange entre sans résistance Ma bouche enserre ton sexe que je suce avec force et mon doigt s'enfonce en toi, tu te cabres sous cette caresse et tu t'enfonces au fond de ma gorge. HUMMMMM. J'entends tes râles de plaisir, qui augmentent encore plus mon envie de venir me glisser, m'empaler sur ton membre dressé pour moi
Tu es très excité et pas très loin de libérer ta semence.
Je me retire, ta bouche vient à l'encontre de la mienne, nos langues se touchent, s'enroulent, se mêlent, nous nous laissons glisser sur le sol. Tu es sur le dos, moi juste au-dessus de toi, je
me positionne de façon à pouvoir te manger et me laisser manger. Ton sexe reviens entre mes lèvres qui n'ont pas eu le temps de perdrent la sensation que tu les avais quittés et tes doigts
viennent au contact de ma fente, écartent mes lèvres pour y faire pénétrer un doigt, ton autre main masse mon clitoris
Je suis prise entre deux feux, je m'envole, m'éloigne de la réalité dans la jouissance est puissante, je ruisselle entre mes cuisses.
Je sens ta langue qui vient se poser sur ma vulve et qui force le passage, cette caresse est plus fine, plus douce, plus excitante je me tortille et je crie mon plaisir. OUIIIIII encore va-y………………..Mon ventre est sur le point d’exploser.
Je veux que tu me pénètres, que ta virilité s'enfonce dans mes entrailles et toute ton énergie vienne exploser, m'inonder à l'intérieur .
Je me retourne, viens plonger mes yeux dans les tiens, c'est la deuxième fois que nos regards se croisent et cette fois je sais ce que tu désires.
Je me positionne au-dessus de toi et je descends doucement sur ton sexe fier comme un i, le mien se referme sur ta hampe dressée.
Commence un vas et viens très lent, sentir chaque centimètre entrer en moi, HUMMMMMMMM.
Mes mains viennent se poser sur ton torse brûlant comme le sable au soleil, pour avoir plus de facilité à aller et venir.
Tes mains viennent sur mes hanches et aident à soutenir ce rythme de plus en plus endiablé, des soupirs de bien être fusent entre nos lèvres.
Je ma redresse en poussant ton membre au plus profond de moi, je ruisselle sur te cuisses, sur ton bas-ventre, chaque poussée fait monter en moi un orgasme qui est sur le point de jaillir.
Nos corps luisent de nos efforts, c’est le moment, tu arrives, tu exploses en moi.
Nous crions notre plaisir, comme un sauvage qui tient entre ses mains un trophée de guerre qui le monte à la tête de sa tribu, tu t’accroches à moi et reste comme ça bien encré en moi.
J’aime sentir nos corps qui s’abandonnent, qui se relâchent, je me pose sur toi, tes bras viennent entourer mon corps, dans cette étreinte je suis bien, ma tête dans ton cou.
Je ferme les yeux, j’ai envie de dormir, allonger par terre a coté de toi, ton odeur, ton parfum me donne envie de recommencer, de repartir avec toi dans ce monde merveilleux de l’amour.
Mais mes forces m’abandonnent, j’aspire à un repos bien mérité….
Nos respirations se calment, nos battements cardiaques ralentissent nos yeux se ferment et couché à même le sol, l’un contre l’autre nous nous
endormons.
Angedesnues